La nuit de noce
Datte: 13/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Hds
... des obligations.
Je fis le compte rendu à mon complice.
— Merde, putain de merde. Mardi je ne peux absolument pas me libérer, mais attends, si tu veux mon pote le patron de l'hôtel, pourrait si tu es d'accord me remplacer. Il est très gentil et il nous fera cadeau du prix de la chambre, qui n'est pas donné.
— Mooooouuuuaaaaiiii et il est comment ton copain ?
— Noir bien sûr, sympa tu verras, je lui ai déjà expliqué ce que l'on voulait faire, il a bien rigolé et je pense qu'il sera d'accord pour me remplacer, en plus au niveau du sexe, il n'a rien à m'envier en longueur et grosseur, dit-il en rigolant.
Le mardi soir suivant, je me préparai pour le rendez-vous. Je passai un bustier de dentelle blanche, une jupe assortie assez moulante, un porte-jarretelles, un string arachnéen, des bas et des talons aiguilles. Mes vêtements et mes sous-vêtements étaient comme ceux d'une mariée d'une blancheur immaculée.
Arrivés à l'hôtel, on nous s'installa dans une super chambre respirant le luxe.
— J'ai retenu pour dîner, puis nous aurons toute la nuit !! Et Gérald ne tardera pas à nous rejoindre.Tu pourras à nouveau te régaler à me voir baiser par un noir, lui susurrai-je.
— Parfait, j'espère que sa queue est aussi grosse et longue que celle de N'Doumbé. Je vous filmerait, pour compléter ma vidéothèque !
On frappa à la porte, j'allai ouvrir, une poussée du battant me fit reculer. Un homme assez grand, vieux, bien habillé à la peau noire se tenait debout dans ...
... l’entrebâillement, Il était suivit de deux jeunes aussi noirs que lui, l'un tenait un seau à champagne, l'autre des petits fours sur un plateau avec des flûtes en verre. Jean-Paul se mit à protester contre cette intrusion soudaine, j’abondai en son sens disant que nous n'avions rien commandé.
— C'est votre nuit de noce, c'est bien ce que vous avez dit lors de votre réservation, Madame. Et nous avons décidé de vous offrir cette bouteille de champagne, c'est un cadeau.
Il remplit deux coupes, m'en tendit une, Jean-Paul eut droit la sienne.
— A votre santé, et à votre Bonheur, goûtez ! n'est-il pas bon Monsieur ?
Il nous servit des petits fours, et nous obligea presque à terminer la bouteille. Puis il redemanda à Jean-Paul comment il le trouvait, vanta la marque. Il me regarda attentivement.
— Vous êtes splendide Madame !!
J'opinai de la tête. C'est alors que Jean-Paul laissa échapper un cri qui était un mélange de rage pure et de panique qui se transforma rapidement en grognements étouffés, tandis que l'un des jeunes lui passait un bâillon et que l'autre resserrait des courroies, autour de ses bras sur les accoudoirs du fauteuil sur lequel ils l'avaient assis.
Le gros homme se tourna vers moi, j' essayai encore de comprendre ce qui venait de se passer. La tête me tournait un peu. L'homme au costume me murmura.
— Je vous prie de m'excuse sincèrement de vous avoir droguée, mais nous avons besoin d'une coopération convaincante, de votre part, je suis sûr que vous ...