1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1191)


    Datte: 11/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... longtemps. Seulement Il n'était pas le premier homme venu, il était l'illustre Monsieur le Marquis D'Evans, un homme d'une Noblesse infime, d’une grande beauté d’âme, mais pas seulement puisqu'Il était également un Grand Maître, un vrai Maître, digne de ce nom. Il était l'héritier spirituel du Marquis de Sade et de son ancêtre qui fut jadis son ami.
    
    Il se tenait là, tout près de moi sans aucun bruit, observant le spectacle de ma nudité et de mon entière soumission... Après avoir de nouveau ressenti son souffle, cette fois sur ma poitrine, plus aucune respiration ne venait trahir sa présence, puisqu'un fantôme ne respire pas, me disais-je … Et pourtant son souffle, je sais que c’était le sien, ça ne pouvait être que le sien ! … Plus de souffle donc, plus rien,… était-il toujours là ? Assurément quand tout d’un coup, je sus qu'il était toujours là... je pouvais le sentir ! Je ne te parle pas de son odeur, fut qu'il n'en eut pas. Mais à nouveau tel un sixième, septième ou huitième sens, je pouvais deviner sa présence et presque...presque l'entendre, me semblait-il. Oui une présence, un sentiment inouï d’être observée, d’être admirée, désirée …
    
    - Vous êtes vraiment très belle ! Je savais qu’un jour je rencontrerais de nouveau une femme aussi désireuse de soumission que Moi de Domination !
    
    Bien sûr, ce n'était pas là les paroles de Monsieur le Marquis, seulement l'œuvre de mon imagination qui me faisait lui prêter ces paroles, enfin c’est ce que je supposais au début, ...
    ... juste avant de me demander si ces mots venaient de Lui et qu’ils étaient transmis par une forme de télépathie paranormale… Pendant un long moment rien ne se passa, comme s'il m'avait oublié là. Mais je savais qu'il n'en était rien. C'était là une sorte de subtile torture psychologique et physique. Car je n'arrêtais pas de penser à ces instruments de flagellation que j'avais vue sur le guéridon et à la douleur que j'allais devoir endurer. Alors que la chaleur du feu dans l'âtre augmentait comme par magie et devenait de minute en minute de plus en plus éprouvant sur ma peau. Tout comme ma station debout, immobile, qui devenait pénible, alors que l'attente et l'appréhension de la souffrance et du plaisir excitant m'étaient plus torturant encore que ne fut ma première correction. Subjectivement, je savais qu'un coup de cravache ou le cinglement d'un martinet pouvait faire souffrir. Mais physiquement, j'ignorais de quelle espèce et intensité de douleur cela pouvaient procurer exactement. Je n'ignorais pas, après la lecture des nombreux récits du Marquis d’Evans, sur quelle partie du corps je pouvais être cinglée. Mais se contenterait-il de corriger ma croupe ? Ou me corrigera-t-il là où ça faisait le plus mal ? Ou là où s'était le plus stimulant et excitant ? Allais-je pouvoir le supporter ? Etait-il possible, ainsi que telles les soumises de ses écrits, que j'en retire du plaisir ? Et qu'elle sorte de plaisir ? De cette sorte de plaisir étrange qui palpitait dans mon bas-ventre ...