1. Les falaises


    Datte: 09/03/2024, Catégories: fh, ff, douche, noculotte, caresses, intermast, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: FredN76, Source: Revebebe

    ... d’abord, puis de plus en plus vite. Je dégustais l’intense promiscuité de son intimité la plus secrète, et j’avais l’impression(l’illusion ?) fugace de reprendre un peu de contrôle sur elle. Elle sentit que je ne tiendrais pas cette cadence encore bien longtemps, se dégagea et se présenta à genoux devant moi, tenant fermement ses seins obusiers à mon attention.
    
    N’y tenant effectivement plus, mes yeux plongés dans les siens, je me masturbais vigoureusement, et sentant le climax arriver, je dirigeais mon sexe vers cette magnifique poitrine, et y répandit ma semence. Je la vis sourire et s’enduire les seins de mon sperme. Haletant, je lui tendis la main pour l’aider à se relever, et nous nous embrassâmes tendrement.
    
    Après un savonnage et un rinçage en règle, nous sortîmes de la cabine, pantelants. Vite séchés et habillés, nous descendîmes chercher la voiture. Un petit quart d’heure de marche jusqu’à l’agence, de quoi se dégourdir un peu les jambes ! Dans la rue, Madeleine se tenait à mon bras, et souriait.
    
    Nous arrivâmes à l’agence vers 10 h. Le temps de signer les papiers, faire le tour de la voiture avec le responsable qui croyait que je ne le voyais pas reluquer les fesses de ma compagne, qui n’en avait cure, et nous étions partis. J’avais fait cette route souvent, je la connaissais bien. Nous remontâmes le boulevard du bord de mer, direction Sainte-Adresse, puis Octeville, et la départementale pour Étretat. Quarante-cinq minutes de trajet, ralentissements pour ...
    ... admirer les vieilles bicoques normandes compris. Pendant le voyage, Madeleine envoya et reçut plusieurs SMS. Le travail, probablement, pensai-je. Ou sa fille, peut-être.
    
    Je garai la voiture sur un petit parking non loin du bord de mer, et nous descendîmes vers la plage. Le temps était maussade, le vent soufflait fort, mais il ne pleuvait pas. La mer déchaînée donnait une teinte dramatique au tableau grandiose que nous avions sous les yeux lorsque nous atteignîmes le bord de mer. Plus loin, sur notre gauche, les célèbres falaises, majestueuses et superbes, se dressaient vers l’horizon.
    
    J’avais à nouveau un peu cette sensation d’être spectateur des événements, tout me semblait irréel, trop beau pour être vrai. J’étais à Étretat au bras d’une femme incroyable que je connaissais depuis tout juste vingt-quatre heures, et avec laquelle je vivais des choses d’une intensité folle.
    
    Mais une petite voix dans ma tête me hurlait qu’il y avait plus. J’étais trop engourdi par les émotions et l’excitation pour dire précisément quoi. Je choisis, pour l’heure, de chasser ces pensées et de me convaincre que j’étais paranoïaque.
    
    Le visage balayé par le vent, sa chevelure couleur de feu la rendait encore plus surnaturelle. Nous n’étions pas nombreux sur la promenade du bord de mer, seuls quelques promeneurs isolés et de hardis pêcheurs avaient comme nous bravé le climat. Malgré les bourrasques, nous décidâmes de faire la promenade en entier, jusqu’aux falaises, où nous prîmes quelques ...
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