Déplacement professionnel en Italie - Histoires de Sexe

Déplacement professionnel en Italie

... femmes dans de remarquables manteaux… Rien que d’y penser, je sens mon entrejambe s’humidifier ! Je suis sûre que tu ne t’occupes même pas de savoir si elles sont mariées ou mères de famille.
— Encore pire que ça… Les mères de familles sont bien souvent les meilleures à baiser car elles sont, la plupart du temps, délaissées par leurs maris !
— Tu es vraiment un goujat !
— Il me semble que tu as plutôt apprécié ma goujaterie quand je t’ai démontée comme une chienne dans l’entrée de l’agence…
— J’étais encore dégoulinante pendant le rendez-vous avec le client suivant. J’ai dû expédier ça vite fait afin d’aller prendre une douche.
— Tu aimes vraiment le cul, ça me plaît les nanas comme toi !
— Ça m’exciterais que tu me parles de la dernière italienne avec qui tu as couché ? Elle ressemblait à quoi ? Comment était-elle habillée ? Je veux tout savoir…
— Ok, mais d’abord dis-moi comment toi tu es habillée en ce moment…
— Je suis allongée sur mon lit et je suis entièrement nue dans le superbe manteau de zibeline de ma tante…
— Ah oui ! Ça, ça me plait !
— Et ta catin romaine alors ?
— Une secrétaire de la boite. Une secrétaire comme je les aime… Une grande brune sportive avec une queue de cheval. Ça faisait plusieurs fois qu’on se croisait en se jaugeant du regard, sans se parler. Et puis avant-hier, on s’est retrouvé l’un derrière l’autre à la sortie de la cantine.
— Et ?
— Elle m’a proposé d’aller boire un café dans son bureau et sans attendre ma réponse m’a fait ...

... comprendre de la suivre. Le claquement des talons de ses bottes sur le carrelage, sa jupette écossaise lui arrivant à mi-cuisse et son blouson court en racoon étaient un ravissement pour les yeux.
— Cette beauté m’aurait plu également…
— Elle a fermé la porte et m’a aussitôt dit que ce n’était pas d’un café dont elle avait envie mais de ma bite car l’assistante de la comptable lui avait fait l’éloge du plaisir que je lui avais donné…
— Prétentieux !
— A toi de le dire… elle m’a embrassé tout en massant ma queue à travers mon pantalon. J’étais un peu crispé et je dois avouer qu’à ce moment-là je n’étais pas aussi dur que ma partenaire l’aurait souhaité. Elle s’est donc accroupie devant moi cuisses ouvertes. Elle a déboutonné mon jean et a sorti ma demie molle qu’elle a englouti sans réfléchir. Et comme par magie mon chibre a gonflé entre ses lèvres.
— Humm je l’imagine dans ma bouche en ce moment…
— Elle m’a demandé de m’asseoir sur son fauteuil et elle s’est empalée sur mon sexe face à moi. J’ai ouvert sa veste sous laquelle elle ne portait qu’un petit top blanc. J’ai trituré ses tétons qui dardaient déjà fort au travers du fin tissu puis je les ai mordillés.
— Oh ouiiiii, continue… Je me pince les tétons et malaxe mes gros nichons. C’est bon !
— Je sentais les mouvements de son bassin. C’est elle qui m’a baisé plus que l’inverse. Les muscles de son vagin se sont contractés et elle a joui en étouffant ses gémissements dans l’épaisse fourrure.
— Je me caresse en pensant à ...