1. Révélations


    Datte: 02/03/2024, Catégories: copains, hépilé, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral préservati, pénétratio, fdanus, Auteur: François Angler, Source: Revebebe

    ... visage, je veux avaler sa tige tout au fond de ma gorge comme Juliette l’a fait plus tôt. Qu’elle est grosse ! Je peine à ouvrir ma bouche, ma mâchoire me fait mal, je sens mes dents éraflées la peau de sa pine, j’ai un haut le cœur, j’ai les larmes au bord des yeux… Je ne suis pas aussi douée que Juliette. Bruno me sourit, se retire, s’agenouille et m’embrasse. Intérieurement, je le remercie.
    
    Mais, j’ai maintenant envie de lui, envie de me sentir prise par cette queue dure et palpitante. Je réalise que Juliette s’est arrêtée de me lécher, elle m’a vu tenter d’engloutir le chibre de Bruno. Elle se relève, me tend la main, je suis debout face à elle qui porte encore sa robe rouge. Elle me fait pivoter, je me laisse guider consentante. Me voilà à genoux sur ce fauteuil, Bruno est toujours là, exhibant fièrement cette queue dressée, virilité masculine qu’il y a peu m’effrayait. Il contourne le fauteuil pour venir derrière moi, je sens qu’il pose ses mains sur mes hanches, elles remontent le long de mes côtes, viennent palper mes nichons un bref instant, basculent sur mes épaules. Je sens son souffle dans mon cou. Je sens son sexe chaud contre l’intérieur de ma cuisse. Je ne dis rien, j’attends que cette verge me pénètre et m’emmène au septième ciel. Il ne dit rien, aucun propos ne sort de sa bouche qui risquerait de briser l’envie de m’offrir à cet homme.
    
    Oh ! Enfin je sens son gland frotter contre mes lèvres, appuyer sur mon clitoris, que c’est bon. Je veux être ...
    ... prise. Viens en moi. Le frottement de son gland contre ma fente s’éternise, enfin je sens la poussée lente mais inexorable de son pieu, il écarte mes chairs, le temps semble s’être arrêté, après des secondes qui me semblent des minutes, je sens son pubis contre mes fesses. Il reste là planté en moi, immobile. J’espère qu’il ne s’est pas répandu comme un puceau. Non. Il bouge. Il se retire entièrement, je me sens vide, reviens vite en moi me dit ma petite voix intérieure. Et, je n’ai pas longtemps à attendre pour ressentir à nouveau cette verge me remplir. Que c’est bon ! Je ferme les yeux. Je m’abandonne. Je savoure chaque pénétration. Il est doux, je comprends qu’il ne veut pas se montrer trop brutal, je lui fais comprendre mon désir, je repousse mes fesses allant à la rencontre de son sexe. Il accélère son rythme, puis il décide d’être le maître du jeu.
    
    Le rythme varie, parfois brutal, suivi d’une longue pause pour me laisser reprendre mes esprits, parfois rapide sans arrêt pendant plusieurs secondes, parfois lent… je n’en ai pas conscience mais progressivement je me lâche, sans un bruit au début du coït, je gémis doucement, puis des petits cris lors de pénétration plus forte avant d’enfin exprimer mon plaisir sans retenue. Nous sommes hors du temps, et je m’écroule d’un coup, je ne suis pas arrivé au septième ciel mais je n’en étais pas loin. Il se retire. Je tourne la tête vers la porte fenêtre, je vois dans le reflet de la vitre son sexe encore dressé, il en retire un ...
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