Révélations - Histoires de Sexe

Révélations

... hanches, et enfin se met debout, le godemichet pendant entre ses jambes.

— J’ai l’air con avec ce truc. Non ?

Juliette est silencieuse, mais lui adresse un sourire ; quant à moi, je l’encourage.

— C’est juste temporaire. Dès que tu seras à nouveau en pleine forme, Juliette sera heureuse de sentir ta bite à la place du gode.

Il me regarde, regarde Juliette qui y met du sien.

— Ce gode, c’est juste une prolongation passagère de toi. Je vois bien que tu as envie de moi, prends-moi en levrette. J’ai envie de sentir tes coups de rein.

Un silence s’installe, puis Bruno le rompt.

— D’accord mais vous me promettez que cela restera entre nous. Que vous ne le direz à personne que je n’ai pas pu bander.
— Promis. Nous répondons toutes les deux en cœur.
— Je suis certaine que d’ici peu tu auras une érection, et tu ne regretteras pas l’expérience.

Je décide de m’installer à nouveau dans le fauteuil, je suis dans l’axe des deux amants. Juliette tend son cul, prête à se faire défoncer par Bruno. Lui avance, se penche et fait couler dans le sillon fessier une grosse quantité de lubrifiants. Son index masse la rondelle, puis pénètre le conduit sans rencontrer de résistance, vite rejoint par le majeur, il tourne ses doigts à l’intérieur, le plug a bien préparé le conduit. Juliette émet des petits ah et oh de plaisir. Je vois sa petite bite entre ses jambes, elle bande, en appuie sur les coudes, elle relève la tête, elle me sourit. Je vois bien qu’elle aime la ...

... pénétration des doigts de Bruno dans son cul.

Ce dernier déroule un préservatif sur le gode, puis ajoute encore du gel, il positionne le gland en plastique sur l’entrée du petit trou offert.

— Ça va ? Tu es prête ? Dis-moi si c’est douloureux, dit Bruno.
— Vas-y ! Prends-moi ! lui répond Juliette.

Une main à plat sur le dos de Juliette, je vois Bruno avancr le bassin, et guider le phallus avec sa seconde main, la poussée est continue sans pause. Juliette serre les dents, fronce les sourcils, l’introduction de l’engin semble difficile.

— Ah ! crie Juliette.
— Le gland vient de forcer le passage. Il est plus gros que le mien. Je ne vais pas te rentrer tout ce truc dans le fion. Tu veux que je ressorte ? demande Bruno avec une pointe d’inquiétude dans la voix.
— Enfonce-toi, je veux me sentir prise par toi.

Bruno poursuit sa pénétration, en douceur, il la tient par les hanches. Il s’arrête. Sa main droite se faufile sous le ventre de Juliette. Il lui caresse sa petite bite.

— Je sens ton clitoris, il est tout dur… dit Bruno à Juliette. C’est beau, il la considère comme une femme. Je vois un sourire illuminé le visage de Juliette.
— C’est bon d’être prise par un homme, je n’avais jamais connu encore ce bonheur.
— Tu étais vierge… il fallait me le dire…
— Vierge non ! Mais aucun homme ne m’avait pénétré. Tu as été très doux, tu peux bouger en moi, j’aimerais sentir quel bien cela fait d’être possédée par un mâle dominant.

Je vois Bruno reculer, ressortir ...