1. Florence de femme mariée à callgirl 2


    Datte: 02/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: André Bernard24, Source: Hds

    Mes premiers pas à Paris :
    
    Lorsque j'avais ôté de mes yeux le foulard de soie noir de Françoise dans ce luxueux salon de l'institut de beauté, j'étais seule.
    
    Celles et ceux qui m'avaient fait découvrir de nouvelles sensations, et une jouissance intense, avaient disparu.
    
    J'avais un petit mot de Françoise qui m'invitait à la retrouver en fin de soirée à mon appartement.
    
    Après un bain chaud relaxant, un passage à la formation maquillage et coiffure, je me retrouvais dans le luxueux vestiaire de l'institut.
    
    Sous-vêtements , bas gris clairs et porte-jarretelles de satin noir étaient accompagné d'une jupe courte et veste d'un bleu ciel rayonnant.
    
    Chaussures escarpins talons mi-haut venaient mettre la touche finale au tableau.
    
    Je sortais dans ce Paris qui me fascinait et je sentais au fond de moi que la petite fille sage de province commençait à s'éloigner.
    
    J'étais à la fois enivrée et excitée, mais tout de même un peu stressé et inquiète des événements futurs auxquels j'allais participer.
    
    Mes talons claquaient sur les allées de ces grands boulevards parisiens et je ne pouvais ignorer les regards d'envie des hommes et souvent
    
    les regards empreints de jalousie des femmes. Ma ma tenue classe et un maquillage délicat, dans le regard des hommes quelques soit leur âge,
    
    j'avais l'impression de me promener totalement nue et des frissons me traversais de la tête au pieds.
    
    Françoise à mon appartement
    
    Dix-huit heures, la voix de Françoise résonnait dans ...
    ... l'Interphone de mon appartement.
    
    Dès son entrée, elle se dirigeait vers moi et saisissait son foulard que j'avais noué autour de ma gorge. Le tenant par les deux extrémités, elle exerçait une traction sur ma nuque m'invitant à me rapprocher de son visage.
    
    Me saisissant alors par la nuque, elle m'appliquait un langoureux baiser, j'avais alors instinctivement un petit mouvement de recul.
    
    Elle gardait alors ses deux mains sur ma nuque, ses pouces exerçant alors de savantes caresses sur les lobes de mes oreilles.
    
    M'attirant plus près sa bouche à proximité de mon oreille gauche elle me chuchotait :
    
    - Ma chérie, dans les soirées où tu devras exercer tes talents d'hôtesse, il n'y aura pas que des hommes mais également des femmes. Détends-toi
    
    De nouveau elle posait ses lèvres sur les miennes et je sentais sa langue gourmande envahir ma bouche. J'étais submergée par un sentiment étrange et je fermais les yeux.
    
    Ses mains agiles en un éclair, me délestaient de mon chemisier et de mon soutien-gorge. Une main me caressait les cheveux l'autre palpait mes seins que je sentais frémir.
    
    Elle pinçait maintenant le bout de mon sein gauche qui se dressait maintenant avec arrogance.
    
    A présent me libérant de toute caresse, elle s'était reculée et m'adressait d'une voix douce mais exigeante :
    
    - Enlève ta jupe et ta culotte
    
    Je m'exécutais, je la regardais, en un éclair elle venait de se libérer de sa jupe portefeuille fendue qui tombait au sol.
    
    Je découvrais alors ...
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