1. Un escort-boy pour maman


    Datte: 01/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, couleurs, grossexe, Oral préservati, pénétratio, fsodo, diffage, tarifé, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    Margot et Aurélie étaient tracassées par leur mère Magali. Elles constataient depuis quelque temps qu’elle déprimait. Elles le mettaient sur le compte de l’approche de la soixantaine et elles savaient que le cap de la dizaine est toujours difficile à vivre, quel que soit l’âge. Elles-mêmes l’avaient ressenti lorsqu’elles avaient dépassé les trente ans. Mariées et mères de famille, elles étaient néanmoins en capacité de l’encaisser plus facilement alors que leur mère, divorcée et seule, se retrouvait face avec elle-même. Ses deux filles savaient qu’elle avait eu des amants depuis son divorce(et même avant d’ailleurs…), souvent plus jeunes qu’elle, ce qui ne leur avait pas plu, mais après tout, si elle s’éclatait, tant mieux pour elle. Mais ce n’était visiblement plus le cas. Et pourtant, elles la trouvaient toujours séduisante. Certes, ses cheveux avaient blanchi, des rides étaient apparues, mais son corps semblait imperméable aux atteintes de l’âge : jambes nerveuses et musclées grâce à une pratique assidue de la marche et de la gymnastique, fesses fermes, seins à peine affaissés. Sa petite taille, avec le temps, était devenue un atout en concentrant ses charmes, qui lui avaient longtemps valu de grands succès masculins, au détriment peut-être de sa fidélité conjugale.
    
    Margot et Aurélie s’ouvrirent de leur inquiétude auprès de Magali, qui finit par se lâcher :
    
    — Je me sens vieille. Je ne plais plus aux hommes. Il y a un bout de temps que je n’ai plus fait l’amour et ...
    ... je crois que c’est fini pour moi. Heureusement qu’il me reste le boulot pour me révéler encore utile, car je me sens de moins en moins femme.
    
    Ses filles furent secouées par cet aveu. Autant elles avaient déploré à une époque que leur mère étale et exprime sa sexualité, autant elles regrettaient qu’elle ait rendu les armes. Elles tentèrent de la rassurer :
    
    — Mais non, maman, tu es encore belle. Tu plais toujours, on en est certaines. C’est dans ta tête que ça se passe.
    
    Mais rien à faire. Magali ne voulait rien entendre et ses deux filles durent battre en retraite.
    
    *****
    
    Du moins provisoirement. Margot, la plus délurée des deux, réfléchit à la situation et s’en ouvrit un jour à sa sœur. Elle avait eu une idée, certes très audacieuse et un rien perverse, mais c’était à son avis le seul moyen de débloquer la situation, et dit :
    
    — Et si on lui trouvait un amant, heu, tarifé ?
    — Hein ? Qu’entends-tu par là ? répliqua Aurélie.
    — Oui, un gars beau et jeune, viril, qui lui ferait l’amour à nos frais. Une espèce d’escort-boy, quoi.
    — Un prostitué, tu veux dire ?
    — Le vilain mot. Plutôt un assistant sexuel qui lui redonnerait l’envie de vivre sa sexualité qui, à mon avis, couve sous la cendre.
    — Encore faudrait-il qu’elle l’accepte.
    — Essayons toujours. Et d’abord, recrutons le garçon, ça doit se trouver facilement.
    
    De fait, après avoir passé une annonce circonstanciée sur internet :
    
    Plusieurs candidats se manifestèrent. Elles en sélectionnèrent trois, les ...
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