Karine et le plaisir de la soumission 7
Datte: 01/03/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... vous préférez. Je ne peux pas baiser avec des inconnus. » puis je rajoute précipitamment, « mais j’aime bien me faire enculer par contre, ça je l’ai déjà fait, pas souvent, mais je l’ai fait. »- « Alors ça ira, si tu ne les envois pas chier grossièrement, il se pourrait qu’ils te payent la tenue, si c’est le cas, je te ferai un cadeau »C’est le monde à l’envers, maintenant lui aussi veut me faire un cadeau ! Je regarde les deux hommes à quelques mètres dans d’autres rayons, ils ne font même plus semblant de regarder des objets en vitrine, ils me matent tranquillement. Ils ont tous les deux près de soixante ans, plutôt bien conservés pour leur âge bien habillés, avec classe, pas beaux, mais pas laids non plus. J’hésite encore une seconde… je commence à me déshabiller. Le patron me dit - « Enlève tout »- « Pas besoin qu’ils voient mes seins pour essayer une jupe ! »Il me regarde, semblant me prendre pour une demeurée. Je lui jette un regard affolée puis je décide que ce n’est qu’une exhibe de plus, au chaud pour un coup, alors je déplace mes mains qui s’étaient posées sur ma jupe, et les pose sur mon chemisier. Je le déboutonne, les pans s’écartent laissant apparaitre une partie de mes seins, je lève mon regard vers les hommes, continue à défaire les boutons un à un, et enlève mon chemiser. Je le pose, bien plié, sur la vitrine à côté de moi. Je leur fais un striptease. Je remarque les boites de plug anal que le patron a déposées là. Je me retourne vers les hommes, le torse ...
... nu, mes tétons sont pointés droits vers eux, je sens mes seins durcir, et mes tétons s’allonger. Mes aréoles qui, en temps normal, sont parfaitement dans le prolongement du galbe de mes seins, sont gonflées, comme un mini sein rosé supportant mes tétons qui ont doublé d’épaisseur. Je n’ai jamais été aussi excitée lors d’une exhibition, mon vagin se liquéfie. Je vois les hommes se rapprocher insensiblement. Je défais l’unique attache de ma jupe, j’hésite à l’enlever, mais ne tenant qu’un seul des deux bouts de la ceinture du kilt, la jupe tombe toute seule le long de ma cuisse, dévoilant mon intimité et la touffe de poils blonds sur le dessus de mon pubis. Je ne fais aucun geste pour me dissimuler, mais inquiète je me tourne vers le patron : leurs regards lubriques me font peur. Je redis au patron - « Je ne veux pas qu’ils me violent, mon cul oui mais pas ma chatte »Je suis comme une biche prise au piège, j’ai tendu le bras pour me faire battre et maintenant je suis terrifiée des conséquences de mes actes. Le patron me tend la jupette en cuir avec un « essaye là », il avance vers les hommes et discute à voix basse avec eux. Manifestement, il les connait bien, il les appelle par leur prénom. Je vois qu’ils rechignent, la jupe n’est pas donnée, et en plus, les autres boites, ce ne sont pas d’autres tailles, mais d’autres vêtements.
J’ai mis la jupe. En me voyant dans la glace, j’ai fait tourner la jupe d’un quart de tour, la fermeture éclair est maintenant positionnée sur la ...