Miss Cata - Après
Datte: 29/02/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
amouroman,
retrouvailles,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... moi là-bas !
— Et que j’abandonne tout ici ?
— La nana d’unbad boy abandonne toujours tout pour son mec !
Elle se met à sourire :
— Ben voyons !
— Écoute Justine, j’ai la confirmation que c’est bien toi qu’il me faut ! La journée d’hier passée à deux et nos deux nuits me l’ont prouvé. Et tu acceptes même qu’on t’appelle « ma chérie » !
— Bon, c’est vrai que c’est le pied au pieu avec toi, mais tu vas trop vite et tu embellis trop les choses, Boris… T’étais plus terre à terre avant…
— Je suis toujours très terre à terre, je ne me voile pas la face : j’ai besoin d’une adorable chieuse pour vivre.
— Et que tu sois mon connard préféré, c’est ça ?
Je capture ses mains entre les miennes :
— Ose me dire que tu n’éprouves rien pour moi ?
— Là, c’est toi qui es chiant ! Nous nous sommes connus en vacances, nous nous sommes aimés en vacances, toujours dans un contexte idyllique. Là, c’est la vie de tous les jours, c’est moins folichon, c’est terne, pas de ciel et de mer bleus. Même si je reconnais que… que depuis jeudi soir… t’as tout fait pour que ce ne soit pas banal… T’as triché !
— Justine, au Brésil, là où je suis, c’est l’été tous les jours, avec la mer juste à côté.
Elle affiche un sourire, mi-figue mi-raisin :
— Ça serait sans doute très bien les premiers jours, les premières semaines, puis après, toi et moi, on se lassera de notre relation.
— Si on n’essaye pas, on ne le saura pas. Faisons un essai grandeur nature !
Bien que je sente qu’elle est ...
... tentée, Justine temporise :
— Et mon boulot ?
— Tu peux prendre un congé sabbatique.
— Et mon appart ?
— Je t’aiderai à en retrouver un autre, si par le plus grand des hasards, ça ne fonctionnait pas pour nous deux. Entre nous, tu ne perds pas grand-chose à le lâcher.
— Oui, c’est vrai qu’il ne casse pas des briques, mais c’est mon appart !
Celui qui n’essaye pas ne se trompe qu’une seule fois, dit la maxime. Je passe à l’étape suivante : toujours assis à côté d’elle, je lâche ses mains, je la capture complètement entre mes bras, puis je l’embrasse fougueusement. Elle répond aussitôt à mon baiser.
Nous roulons sur le lit, elle au-dessus, ou l’inverse. Le temps semble suspendu. J’adore sentir son corps nu et frais contre le mien.
Quand nos lèvres se séparent alors que je suis sous elle, tel son matelas, je prends la parole en premier, mes bras sur ses lombes pour l’empêcher de fuir :
— Tant pis si je fais mon macho, mais tu vas m’accompagner, Justy ! Je veux vivre avec toi, je veux t’avoir à moi, jour et nuit, toute ma vie ! Et ne discute pas ! Dis simplement : oui, Boris ! Ou mieux : oui, mon amour !
Frémissante, ses avant-bras sur mon torse, Justine me dévisage soigneusement, intensément, comme si elle cherchait à lire en moi. Au bout d’un laps de temps qui me paraît interminable, elle lâche d’une petite voix :
— Oui, mon amour…
J’ai l’impression d’exploser de joie ! Je capture à nouveau ses lèvres pour lui prouver à quel point je tiens à elle, à ...