Séance photo (Virginie et le photographe, partie 2)
Datte: 29/02/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds
... le haut des cuisses. De dos, il recouvrait les fesses et guère plus. Virginie était sexy dans cette tenue. Elle se regardait dans la glace. Ses jambes étaient lisses, nues. Elle voulait que quelqu’un les caresse et les embrasse, ne serait-ce le photographe lui-même :- « Voulez-vous caresser mes jambes, s’il-vous-plait ? »
Cette phrase, bien sûr, Virginie ne la prononça pas. Son désir néanmoins était là, pas moins intense que dans l’ascenseur. Elle se demandait si le photographe, encore, tenterait quelque chose.
Sitôt prête de sa nouvelle tenue, Virginie se présenta devant le photographe, escarpins talons aiguilles aux pieds, jupe trapèze noir au-dessus des cuisses, et crop top blanc cassé sur le haut du corps. Virginie se tenait debout, les mains posées sur sa taille. Comme l’homme ne la regardait pas encore et qu’il s’occupait de ses appareils, elle l’interpella en le sifflant :
- « Je suis prête ! » lança-t-elle, d’une voix tonnante.
L’homme soudainement redressa la tête :
- « Comme tu es belle ! Tu es magnifique ! » dit-il.
Par ces mots, l’homme témoigna à la belle toute son émotion. Ses yeux brillèrent d’admiration. Virginie lui plaisait vraiment. Dans sa tête, il se dit qu’en d’autres circonstances, qu’il l’aurait bien choppée par derrière, en levrette, pour la sodomiser bien profondément, puis retournée et mise à genoux pour se faire sucer par cette beauté de femme.
La belle surement l’aurait repoussé et giflé, avant peut-être de céder à ses ...
... avances. L’homme ne tenta aucune approche. Son métier exigeait effectivement de lui de ne pas profiter des séances photos pour obtenir quelques relations et faveurs sexuelles avec ses clientes. La belle n’en fut cependant pas déçue. Cela lui permettait en effet de séduire plus longuement son hôte.
Dans le studio, Virginie s’approcha de l’homme en balançant ses hanches de gauche à droite à chacun de ses pas. La hauteur de ses talons lui donna un maintien si cambré que ses fesses et ses seins en ressortaient à la vue du photographe. L’homme finit de faire ses réglages et commença à bombarder la belle de photos. Il indiqua à Virginie les postures qu’elle devait prendre pour paraitre encore plus gracieuse. L’homme voulait qu’elle soit glamour, ce qu’il réussit à faire en la parant d’un collier de perles qu’elle n’avait imaginé porter.
L’appartement-studio était équipé de tout le mobilier nécessaire à la réalisation d’un shooting photo boudoir sans pareil. Il y avait un salon avec table basse et méridienne en velours de type Chesterfield, une cheminée de marbre ancien, des moulures sur les murs et sur les meubles et enfin un parquet de chêne ciré. La chambre était sans commune mesure et comprenait un lit à baldaquins avec voiles fins et transparents, des rideaux longs aux fenêtres, une commode, un fauteuil, des coussins, des boiseries. Virginie était charmée par tant d’élégance :
- « Cette pièce est magnifique. J’en ferai bien ma chambre !» lança-t-elle au photographe avec ...