1. Après l'effort, le réconfort...


    Datte: 28/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Après une journée à fondre du bois je fus invité à dîner chez le couple d’amis, Corinne et Charles. Alors que ce dernier préparer l’apéro j’en profitais pour m’absenter quelques instants, le temps de me rendre à la salle d’eau pour laver mes mains.
    
    À peine avoir franchis la porte et éclairer la pièce, mon regard tomba un magnifique ensemble, guêpière, bas fumé, porte-jarretelles qu‘elle venait de se séparer après sa journée de boulot avant s‘habiller plus décontracter pour venir nous rejoindre.
    
    Du genre fétichiste, je me mis à caresser la texture mais surtout à humer la culotte.
    
    Pas le temps de m’attarder dessus que je surpris le reflet de Corinne sur le miroir au-dessus du lavabo.
    
    -Si ta femme apprendrait que tu lèches les culottes sales, je pense sans me tromper qu’elle ne serait pas contente. N’est-ce pas ?
    
    -Je compte sur toi pour garder ce secret. Répondis-je le plus simplement possible.
    
    Tout de même gêné, nous rejoignîmes Charles impatient dans son fauteuil de pouvoir boire l’apéro. Je fus frappé quand la gentille Corinne exposa la mésaventure dont elle avait assister, tout en posant la main sur ma braguette.
    
    -Regarde mon chéri, comme il aime cela le cochon, ce faire tripoter, sa queue commence à être ferme.
    
    -Deux solutions viennent à toi, mon bébé, soit tu lui dit de quitter la maison ou alors tu t’occupes de sa queue.
    
    Ses doigts s’activaient déjà sur la fermeture de ma braguette. Elle avait choisi la seconde solution. Une fois la bite à ...
    ... l’air, Charles vint me rejoindre sur le divan.
    
    -Tu veux que je te fasse une confidence, me fit-il en empoignant ma queue.
    
    Sans attendre ma réponse, il ajouta : -ça fait longtemps que moi et Corinne attendions cet instant. N’est-ce pas mon bébé ?
    
    -Et comment ! Lâcha-t-elle, on se soulageant de son polo, puis fit tomber sa jupe. Elle ne portait rien en-dessous. Ses odeurs intimes avaient envahi mes narines. La queue en pleine érection, je m’agenouillais devant son sexe, laissant Charles orphelin. Son clitoris pointait parmi les poils de son pubis peu fourni. Je lui avait fait écarter les cuisses. Sa fente rose était gorgée d’une mouille épaisse. Elle ressemblait à un abricot juteux, je me penchais pour la lécher. Tout en me regardant le mari, j’enfonçais ma langue dans son con, avalant les jets aigrelets de mouille qu’elle m’envoyait dans la bouche. La saveur de sa chatte était renforcée par les relents de pisse et de sueur dans lesquels son sexe avait mariné toute la journée.
    
    Ce fut tout nu, que son mari s’approcha de nous. Pendant un court moment, il regarda sa femme qui avait les yeux fermés, prise qu’elle était dans son plaisir, puis son regard se porta sur ma langue qui faisait des va-et-vient dans le vagin de Corinne.
    
    Dans les secondes qui suivirent, tout s’accéléra, Charles s’était penché et, au moment où sa femme ouvrait la bouche pour laisser sortir sa jouissance, il la força à se courber assez pour lui enfoncer sa queue entièrement dedans pour être ...
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