1. L'extase


    Datte: 25/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... la laisser dans cette position aussi inconfortable, à genoux, il fallait quand même prendre soin de la future maman. Je la fis se relever doucement en l’aidant, et l‘installai sur le divan.
    
    Mû par le ressort de l’excitation, j’envoyais ma bouche vers cette intimité ouverte, déjà luisante de désir et qui n’attendait que ma bouche, ma langue et mes lèvres pour s’ouvrir un peu plus. Et me voilà, en position de prière devant ce con offert, posant mes lèvres sur le haut des cuisses. Le contact de la peau des cuisses me survolta. Elle était douce. Elle sentait le musc et aussi une légère transpiration aigrelette. Mes lèvres ne s’attardèrent qu’un petit moment en cet endroit avant de s’approcher de son entrejambe.
    
    Je fourrais mon nez dans sa fourrure pubienne, en découvrant quelques odeurs capiteuses et entêtantes qui me firent tourner la tête et déclencher une série de spasmes sur mon bâton de chair.
    
    Du bout des lèvres, du bout de la langue, je sentais le velouté des poils rêches, puis l’interruption du système pileux et je fus au contact de la peau légèrement plissée, du haut de sa vulve. Plis dans lesquels je me perdis. Du bout de ma langue, je léchai, suçotai et tentai de pénétrer les plis, replis et flétrissures de cette peau chaude, odorante, humide. Sous ma langue, je touchai la tige longue et déjà dure du clitoris qui bandait et se tendait. Par petits coups de langue, j’en mouillai la petite hampe et, en arrivant au bout, je lui appliquai une aspiration des ...
    ... lèvres et le décalottai.
    
    À cette aspiration, j’entendais le souffle de ma partenaire s’accélérer et se saccader. À l’aide de ses deux mains, elle me plaqua le visage contre son gros ventre. Du bout des dents, j’allais cueillir le petit bout de chair pointu et glissant et l’est fait rouler pendant que ma langue l’agaçait. La respiration d’Irène s’interrompit immédiatement pour laisser place à des grognements rauques. Puis, j’abandonnais son clitoris et ma langue descendit sur l’ouverture de son intimité toute poisseuse. Je fis rapidement le tour, titillant l’entrée hérissée de picots et petits bourrelets de chair qui s’écartèrent sous mes petites pressions. Je sentais couler le plaisir et accélérai encore. Les mains autour de ma tête se crispèrent bloquant mes mouvements.
    
    Contre mes oreilles, je percevais les muscles des cuisses se contracter et se refermer sur moi. Elle avait joui.
    
    Enfin, après quelques longues secondes qui me parurent des minutes, l’étreinte des cuisses me libéra et j’avais pu enfin reprendre mon souffle, essuyer mon visage trempé d’elle, me redresser et surtout tenter de soulager l’extrême tension de ma mâchoire qui venait d’être mise à rude épreuve et qui était à la limite de la tétanie.
    
    Je pris place à mon tour sur le divan, le sexe pointant vers le plafond. Elle ne se fit pas prier pour m’enfourcher. Devant mes yeux, ses deux majestueux seins. J’avançai la bouche vers les tétons durs et pointus, pour les embrassai l’un après l’autre, puis les ...