Justine et son Papounet. 10 - Histoires de Sexe

Justine et son Papounet. 10

... sa trique et le force à changer de cible, (enfin je veux dire de copine).

(Papounet) :

Comme dans un état second, je me laisse faire par Justine qui me mène à la baguette, ou devrais-je dire par la bite. Elle me fait d’abord replonger dans le vagin encore abondamment trempé de Sarah sans pour autant retirer sa main puis oriente le missile sur un autre objectif sans même que je m’en rende compte. Je redonne un coup de reins mais l’effort est si intense que je sens mon chibre plier sous l’effort.

-Justine, ça rentre pas, elle est trop serrée ! huile ma bite !

-Tu veux que je t’aide papounet ? Laisse-toi faire Sarah, détends-toi.

Un liquide froid coule sur mon défonce-cul et la main de Justine enserre mon chibre à la base. J’appuie sur le sphincter qui résiste encore. Je m’arrête un court instant avant d’enfoncer la porte.

-Oh non-Monsieur, NOOONNN !!!

-Tu n’as pas trop mal, s’inquiète Justine ? Tu vas t’y habituer et après tu verras, ça glisse tout seul…

Je redescends sur terre et constate que je suis enlisé jusqu’aux moyeux dans cette ornière. Euuuhh…jusqu’aux couilles dans ce trou du cul hyper serré tellement elle contracte ses fesses. Dessoûlé, je ne bouge plus. Sarah s’est effondrée, uniquement retenue par mes mains sur les ...

... hanches et mon défonce-cul prisonnier dans son anus.

-Pitié, ne bougez plus Monsieur, ça fait trop mal !

J’attends plusieurs minutes comme ça, mon vit en profite pour débander un peu. Je reprends donc très doucement la manœuvre. Elle accepte mieux l’engin légèrement décongestionné et son cul est un peu plus coopératif. Elle commence même à bouger elle-même du popotin, la courbe ascendante du plaisir croisant la courbe descendante de la douleur. Je ne me suis même pas aperçu du départ de Laura et Emilie. Les contractions désordonnées de ce petit cul ravivent mon érection et les douleurs de Sarah mais je redeviens un vrai automate et la défonce avec la même vigueur que Laura tout à l’heure. Sarah braille, grogne, geint, et enfin commence à ronronner.

-Putain que je dérouille ! Si tu ne m’avais pas un peu préparée, Justine, il m’aurait cassée le cul. Je préférais quand il me prenait par la chatte mais ce n’est pas aussi désagréable que je croyais.

J’arrive enfin à ma troisième et dernière jouissance de cette folle journée et en informe Justine. Cette coquine repousse sans ménagement Sarah pour profiter seule de ma manne avant de me faire promettre.

-On pourra recommencer, dis papa ?!

Dans quoi j’ai fourré mes doigts, ou plutôt ma bite ????