Les désirs de Mireille.
Datte: 22/02/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... hasardeux dans la raie, glisse peu à peu vers l’anus. Elle sent le cul mêlé d’une sueur aigrelette. Elle se laisse faire, immobile, ne parait ni excitée, ni rebutée. J’agace l’entrée de son cul, titille les abords de l’anus du bout de ma langue sans obtenir plus de réaction. Le trou s’ouvre facilement sous les poussées de ma langue et de plus en plus échauffé, je fins par l’enfoncer tout entière dans son rectum. Cette fois je sens son souffle s’accélérer.
Je bave dans sa raie tout en pétrissant la chair abondante de ses fesses, excité de la sentir si assouplie, repousse les parois tièdes de ma langue. L’agite en cercles pour la dilater encore.
-Je devine ce que tu cherches mon salaud !
Ce n’est pas difficile à deviner, ma verge bat déjà entre ses fesses. Elle poursuit en baissant la voix :
-Je veux bien que tu me la fourre de ce côté-là, mais si seulement tu y vas en douceur.
Je la rassure machinalement, impatient de loger ma queue dans son trou de balle, prenant déjà la position.
-Je compte sur toi pour ne pas me faire mal !
Moi qui pense que compte tenu de son âge, je lui prendre au moins ce pucelage, c’est raté. Mais à cet instant-là, je m’en moque, seul compte le cul qu’elle étale devant moi, la raie baveuse, le trou qui commence à bâiller, entrouvert par mes caresses précédentes. Elle repose sa tête sur l’accoudoir et referme les yeux. Je la sentis se raidir quand je dirige ma verge vers son anus. Elle souffle fort, comme pour se préparer à un ...
... effort, et creuse les reins.
Mon gland force le sphincter sans effort et je me retrouve enserré dans son rectum brûlant. Plus étroit que le dernier enculer. Celui de Thérèse, une collègue. Je continu à m’enfoncer dans son cul qui cède sous ma poussée. Pourtant, malgré le peu de résistance qu’oppose son sphincter, je la vois grimacer en haletant, le visage contracté par une expression douloureuse qu’elle n’arrive pas à contrôler. Elle se redresse d’un coup, la main tendue derrière elle pour m’empêcher de la pénétrer davantage.
-J’ai mal !
Son trou du cul est si docile que je me demande si sa douleur n’est pas feinte. Elle se tortille avec souplesse, maintenant une main posée sur mon ventre, et à réussi à se dégager, faisant glisser ma queue luisante hors d’elle. Levant la jambe très haute, à la manière d’une danseuse, elle se retrouve pour s’asseoir sur le divan, face à moi. Les sourcils froncés, son visage exprime la lassitude. Son regard se pose sur mon érection.
-Excuse-moi ça fait trop mal !
Elle marque une pause, avec une grimace exagérée.
-Tu veux que te la branle ?
Le regard implorant qui accompagne sa question ne fait que m’exciter davantage. Je secoue la tête.
-Je préfère jouir dans ton beau cul ! Tu ne peux pas savoir comment je le trouve épanoui !
Le compliment fait passer mon refus et elle me lance un sourire, la fois résignée et flattée.
Elle se tasse dans le divan et relève sa jambe pour la poser sur le dossier, creusant des plis dans son ...