Hard
Datte: 22/02/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
extracon,
cocus,
candaul,
hotel,
boitenuit,
jalousie,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
extraconj,
Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe
... veux me faire défoncer !
Ils accélèrent encore plus sous les cris de plaisir de Daphné entre eux. Elle ne cesse de gémir qu’au bout d’un très long moment, quand dans un rythme infernal ils jouissent au fond d’elle. Ils la laissent allongée sur le lit, fourbue, en sortant de la chambre.
Gabriel ne peut plus bouger non plus. Il attend encore de longues minutes avant de la voir se doucher et se rhabiller pour repartir.
***
— C’était parfait dit Gabriel à Daphné en finissant de débarrasser la table de la salle à manger.
Ledéjà-vu était assez fantomatique, mais Gabriel réussit à compartimenter son cerveau. C’est l’avantage de ce genre d’esprit cartésien : l’aptitude à mettre de côté une émotion pour l’analyser plus tard et pouvoir continuer à fonctionner sans interférence.
Les deux ados ont disparu au dernier coup de fourchette, comme d’habitude. Gabriel repense à sa façon de compartimenter chaque chose dans sa tête. Il y a encore trop de variables incertaines pour trouver une solution là, ce soir. Et là, maintenant, il regarde Daphné aller au salon et s’asseoir sur le canapé.
Il la trouve sublime et ne veut pas la perdre. Alors il referme la boîte trop douloureuse dans son cerveau et repasse dans l’instant présent en la rejoignant sur le sofa.
Le film n’était pas si mauvais. Mais Gabriel s’est un peu assoupi à la fin. Daphné, sa tête sur ses cuisses, sourit en le voyant émerger.
— Allez, viens, il est tard, dit-elle.
Quand elle sort de leur salle de ...
... bain, Gabriel la regarde encore, si belle dans une nuisette pourtant toute simple. Elle se glisse sous la couette contre lui.
— Ta journée a l’air d’avoir été difficile, lui dit-elle.
— En effet, ment-il.
— Laisse-moi te détendre un peu dans ce cas.
Daphné repousse alors la couette, descend le long de son mari, baisse délicatement son caleçon et prend son sexe flasque dans sa bouche sans en dire plus. Les yeux dans ceux de Gabriel, elle le fait durcir peu à peu, roulant sa langue autour, caressant les bourses et la hampe de sa main. Il se raidit vite et elle continue, le regard aussi lascif qu’à chaque fois. Gabriel ne peut s’empêcher de voir apparaître des images de l’après-midi, mais les repousse. C’est lui qu’elle suce, là, maintenant. Elle est ici, pas ailleurs. Elle n’a ni changé ni l’air de ne pas le désirer, bien au contraire. Elle le prend entièrement entre ses lèvres, comme elle aime le faire en allant et venant sur sa tige raidit maintenant, puis léchant encore tout le long.
— Tu veux me… baiser ? lui demande-t-elle en ne le quittant pas des yeux.
— Oui, répond Gabriel.
Et c’est vrai qu’il le veut. Il la désire, comme il l’a toujours désirée depuis la première fois qu’il l’a vue.
Elle se tourne alors et lui présente sa sublime croupe.
— Viens. Fais-toi du bien alors.
Il se met derrière elle, pose puis écarte de ses mains les fesses majestueuses. Daphné se cambre un peu plus, lui offrant une vue totale. Sous ses yeux, Gabriel voit son œillet ...