1. Régénération Dégénérée


    Datte: 21/02/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... second. Arrivés devant la porte, j'ai failli sonner, mais Antoine m'en a empêchée, il n'était pas encore 15h32. À l'heure dite, la porte s'est ouverte sans que nous ne sonnions ni ne frappions, une jeune femme habillée en soubrette sexy s'est effacée pour laisser entrer. La tension en moi est montée de deux crans. La fille portait des chaussures à talons très très hauts, elle était quasiment en équilibre sur la pointe des pieds, le bout de la chaussure où reposaient les orteils était plat pour faciliter la pose au sol. Elle ne portait qu'un tablier blanc qui la couvrait du sexe jusqu'à la poitrine, les bretelles passaient sur ses épaules et rejoignaient une fine ceinture solidaire du tablier attachée à sa taille, ses fesses étaient nues et zébrées de rouge, son dos également nu n'avait pas de marque, mais une sorte de tatouage sur l'épaule droite en forme de lettre A. Elle nous guida jusqu'au salon où la maitresse de maison nous attendait, installée dans un large et profond fauteuil. Un homme nu, complètement replié sur lui-même, tête entre les mains, menton contre les genoux, lui servait de table basse. Une cafetière et trois tasses sur trois sous-tasses, des cuillères et un sucrier étaient disposés sur son dos. La cafetière semblait brûler le dos de l'homme, mais celui-ci faisait de son mieux pour ne pas bouger. J'étais impressionnée, le mot est même faible.
    
    On m'avait recommandé Amélie, une dominatrice alors que nous ne souhaitions pas de relation SM. Mais la personne ...
    ... qui m'avait indiqué Amélie m'avait convaincue de son extrême discrétion et plus encore, de sa fiabilité à toute épreuve. Caractéristiques qu'Antoine et moi recherchions.
    
    Elle nous fit signe de nous installer en face d'elle sur le tapis. Il n'y avait aucun siège. Nous nous agenouillâmes les fesses sur les talons en face d'elle, séparés par l'homme "table-basse". J'essayais de ne pas attarder mon regard sur lui, mais je ne pus m'empêcher de remarquer le large collier métallique qui cerclait son cou. Son dos était strié de rouge et de pourpre. D'où j'étais placée, j'imaginais qu'un châtiment identique avait été infligé à ses fesses. Je me demandais jusqu'à quel point allait la cruauté de la flagellation. Avait-il été fouetté sur l'intérieur des cuisses? Sur la poitrine? Est-ce qu'il bandait?
    
    — Il est parfois un peu trop désobéissant, intervint Amélie interrompant le cours de mes divagations. Je me demande s'il ne le fait pas exprès.
    
    Cette remarque capta aussitôt mon attention, elle nous souriait d'un air entendu.
    
    — C'est le lot des esclaves..., ajouta-t-elle sur un ton fataliste. Tous plus ou moins masos!
    
    Elle laissa s'installer un silence, puis elle reprit la parole.
    
    — Être présents à l'heure exacte puis comprendre mes désirs sans un mot, est un début satisfaisant.
    
    Sans s'interrompre elle se tourna vers la soubrette.
    
    — Maid, sers trois cafés sur des sous-tasses, ordonna Amélie d'une voix sèche.
    
    Maid, la servante, remplit trois tasses, sans manquer d'en ...
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