Les chroniques de Poudlard - Histoires de Sexe

Les chroniques de Poudlard

Je suis élève à Poudlard, la fameuse école de sorcier, et je suis, pour être plus précis, dans la maison pouffsouffle. Je me pose souvent la question du pourquoi le choixpeau m’a affecté dans cette maison de loser – même au Quiddich, nous sommes des quiches.

Mais bon, c’est tout, il faut l’accepter.

Après-midi détente, je me balade dans les couloirs du château. Dans la salle des « Pas perdus », j’aperçois un groupe d’apprentis s’entraînant au duel de magie. Tiens, c’est une bonne idée, j’ai envie d’y participer. Ce qu’on peut être enfant parfois !

Deux sorciers s’envoient des sorts et des contre-sorts et desflipendo par ci et desflipendo par là et desAllo Maura ? Et desExpentactum Leviosa ! Enfin, l’un des deux prend le dessus sur unWigarsum Aromatica ! Un sort drôlement efficace, une sorte de boule puante qui vient vouswigarsumer les narines, difficilement évitable !

Le vainqueur a l’air d’un adversaire redoutable, très coriace. Toutefois, je me sens prêt à relever le défi de le battre.

Mon adversaire se nomme Harry Potter, c’est un des chouchous de l’école. Je sais que cet adversaire est très fort en ce qui concerne les sorts de boules puantes. Il faudra me méfier. De savoir ce petit détail est un net avantage dans la bataille qui va se dérouler.

Et bien évidemment, il m’attaque en me balançant un« Wigarsum Aromatica », sort qu’il avait utilisé pour battre son adversaire précédent. Comme je m’en suis douté, j’ai prévu le coup et pour parer à cette ...

... attaque, je lui lance un« Supercalifragilisticexpialidocious » pas piqué des hannetons. Ce contre-sort annihile l’attaque et envoie, en outre, un paquet de fleurs au visage de Potter.

— Ah ah ! Tu ne t’attendais pas à ça, fripouille ! Que je balance un contre-sort fleuri !
— Oui, tu m’as bien eu, dvorak ! Mais ne crois pas que ce soit fini ! Tiens, prends ça !

Et là-dessus il m’envoie un« Infectious Vaginose ».

L’Infectious atteint sa cible : mes narines, putain, ça pue sa mère ! Mais à présent, c’est à mon tour et là, toujours les narines incommodées, je lui lance un« Pétricus totalus ». Harry le prend en pleine face, il n’a pas vu le coup venir.

Il est complètement pétrifié et ne peut plus répondre à mes attaques. Il est complètement à ma merci et je n’aurai pas de merci pour ce petit morveux. Je n’ai plus qu’à l’achever par un« Crache limace ». Le pauvre se met à cracher des limaces par la bouche, par le nez, par les oreilles…

— C’est bon, tu as gagné, admet-il.

Aussitôt, je lève mon sort, et respectueux, lui serre la main, toujoursfair-play. Il fut un brillant adversaire et il n’y a de beaux combats que lorsqu’il y a de beaux combattants. Je suis applaudi et reconnu comme étant un sacré bon sorcier. Les spectateurs s’agglutinent autour de moi, me réclamant autographes, ou juste voulant faire une photo avec moi. Je joue le jeu, mais je n’oublie pas pour autant mon adversaire, l’invitant à participer à ce moment chaleureux. Nous devenons les meilleurs amis du ...