Les Expatriés – Robert et Sarah
Datte: 20/02/2024,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byRainett, Source: Literotica
L'histoire qui suit est entièrement fictive, mais elle provient en droite ligne des histoires qui se racontaient sur le Zimbabwe de la fin des années 1980. Ces expériences racontées par de nombreux expatriés blancs, et de leurs familles vivant en Afrique. Les noms, bien sûr, ont été changés, et tout est parfaitement fictif. Quelques Africains puissants et influents ont réussi à mélanger argent et pouvoir pour obtenir le genre de relations sexuelles qu'ils souhaitaient.
À Harare, la capitale du Zimbabwe, en 1990, en raison de circonstances politico-économiques, il y avait près de 4 millions d'hommes africains qui travaillaient dans les usines. Ils venaient des campagnes environnantes et ils avaient été recrutés comme main-d'œuvre bon marché. À cette époque, il y avait environ 500 000 femmes africaines à Harare. Avec 8 hommes noirs pour chaque femme africaine, il y avait une énorme tension sexuelle refoulée. Comme ces travailleurs déplacés laissaient assez judicieusement leurs propres femmes et filles dans les fermes familiales, les quelques 10 000 familles blanches de la ville se sentaient parfois agressées sexuellement.
Les managers Africains, qui faisaient partie de la nouvelle élite africaine, essayaient de profiter sans vergogne de leur puissance pour asservir sexuellement les femmes blanches les plus vulnérables. Ces multimillionnaires africains ne pouvaient pas dépenser tout l'argent qu'ils gagnaient. Puissants et politiquement prééminents, ils étaient ...
... intouchables. Des hommes qui acceptaient ou donnaient des pots-de-vin par millions, mais qui ne résistaient pas au pot-de-vin le plus précieux, celui qui incluait dans la transaction une jolie femme blanche ou, plus rare encore, une adolescente blanche.
Où les trouvaient-ils? Eh bien, le pays avait besoin d'expatriés pour diriger les entreprises. Des expatriés qui se rendaient compte trop tard qu'ils avaient obtenu le poste, ou remporté le contrat, parce que leur femme était une beauté, ou que leurs filles avaient un sourire angélique.
Plusieurs légendes circulaient sur les fonctionnaires du gouvernement. Lorsque l'homme blanc éprouvait des difficultés pour obtenir un document officiel, un certificat, un renouvellement de permis, etc, il pouvait sortir une liasse d'argent liquide, et la glisser discrètement dans la poche du fonctionnaire. Mais s'il ne disposait pas de liquidités suffisantes, et s'il avait une épouse plutôt jolie et pas trop farouche, il pouvait inviter l'Africain à passer le week-end chez lui. Toutes ses tracasseries administratives étaient alors simplifiées.
Une fête était alors organisée à la maison, et l'invité était convenablement diverti. Pour les apparences, la femme était choquée par les gestes inappropriés et les propositions directes de l'Africain. Pendant ce temps, le mari faisait semblant d'être occupé ailleurs. Et lorsque l'affaire était faite, et le contrat conclu, les gens disaient : « Oh, tu sais... Il faut en tirer le meilleur parti. Il y a ...