Ça a l'air bien parti pour
Datte: 19/02/2024,
Catégories:
grp,
extraoffre,
cocus,
plage,
caférestau,
douche,
amour,
cérébral,
Transexuels
fist,
fsodo,
Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe
... dégouline, d’eau, de tout. Je continue :
— Tu lui disais quoi ?
— Que c’était bon ! Ahnnnn… je… j’aimais sa grosse bite dans mon cul. Il y allait encore plus fort après… si tu avais vu ça…
— Je l’ai vu.
— Oooh, tu… c’est là que tu es venu ? Ahnnnn, il… il me sodomisait si fort… mmmhh…
— Oui je voyais. C’était impressionnant quand… il se retirait et rentrait à nouveau… ton cul était si… ouvert…
Je plante un quatrième doigt dans son anus, elle m’accueille dans un gémissement de plaisir intense… Mon pouce sur son clito et ses lèvres, je m’agenouille et ma main s’enfonce encore, les quatre doigts allants et venants de plus en plus loin.
— Aaahhh ! Ooohhh, oui, il m’a tellement ouverte…
— Tu as aimé te faire… défoncer le cul comme çà ?
— Aaahnnnn, ouiiiii !
— Tu sens mes doigts là dans ton cul, comme ils entrent facilement ?
— Ahnnn ! ahh…. oui… !
Je prends un peu de gel douche et m’en applique sur la main qui la fouille de plus en plus.
— Tu en veux plus ?
— Aaahhh ! Ahhhh je…
— Dis-le !
— Oui ! oui !
Mon pouce rejoint les quatre autres, alterne dans son fondement une recherche perverse, fouillent et rentrent peu à peu. Ses gémissements deviennent cris, ma main devient à chaque tentative encore plus lubrique et, quand elle passe l’anneau qui m’aspire entièrement, Sophie hurle de plaisir.
— Aahhhh ! Ahhhnn… oui… encore ! Tout ! Je veux tout !
Ma main gauche étrille lèvres et clitoris dans un rythme infernal, ma droite s’enfonce et ressort, ...
... doigts, pouce, paume, tour à tour et en même temps. Sophie tend son cul, bras tendus appuyés sur la paroi de verre qui tremble dangereusement.
Je perfore, elle geint, encore et encore… jusqu’à un jaillissement sur mon visage et un long cri, inconnu jusqu’alors.
On reste comme ça, serviteur pervers et statue figée dans son plaisir.
**********
Sophie dort sur le lit depuis une heure, au milieu de son peignoir de bain, les cheveux encore mouillés. Je la regarde, l’air un peu couillon et amoureux.
Quand elle se lève, je suis à la cuisine, et son café coule depuis que je l’ai entendue se réveiller. Elle m’embrasse si tendrement que j’ai l’impression d’être le roi du monde.
— Personne ne m’avait fait jouir comme ça jusqu’à présent, me dit-elle sa tasse à café devant la bouche, un peu gênée.
— Tant mieux, lui dis-je. Tu ne vas pas me remplacer tout de suite, alors ?
— Ça, ça ne risque pas d’arriver, dit-elle en m’embrassant à nouveau.
— Toujours OK pour aller rejoindre les trois zozos à la mer ?
— C’est à la plage ?
— Je ne sais pas s’il y a une plage, mais c’est au bord de l’eau en tout cas.
— Mmmhh… c’est prometteur, répond-elle.
— C’est exactement ce que je me suis dit.
Je prépare nos maillots, de la crème et de l’eau dans un sac. On se met en route 15 min plus tard.
Au bout d’un chemin de terre et après 1 h de route, nous arrivons à ce qui semble être une grande maison entourée de hauts murs de pierre. Pas de panneau, pas d’étiquette sur la sonnette. Un ...