Le sexe ne manque pas de... selle
Datte: 18/02/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
Karine avait fini par céder à une évidence. Pour se déplacer entre son domicile et son cabinet d'architecte d'intérieur, le vélo restait le moyen le plus rapide et le plus agréable. Fini, les longues stations debout dans le métro. Terminé, les odeurs nauséabondes des rames. Ses trois quarts d'heure de trajet, elle les accomplirait sur une selle, dûment équipée, comme le faisait depuis longtemps son associée Gaëlle, qui avait donc fini par la convertir. Elle négligea cependant l'assistance électrique afin de joindre l'utile à l'utile, c'est à dire un exercice physique que ne permet pas l'assistance, d'autant qu'elle n'avait pas de côtes à escalader pour justifier le moindre effort.
Au début, elle trouva le trajet jouissif, au milieu d'une floppée d'autres cyclistes qui lui permettaient parfois un abri rendant l'effort beaucoup plus facile. Les averses de pluie ne la dissuadèrent même pas, bien qu'elle préférât évidemment le grand soleil. Elle éprouvait même un petit plaisir à porter des mini-jupes qui mettaient ses cuisses fuselées en valeur dans ce mouvement particulier de bielles propre au vélocipède. Les regards masculins admiratifs faisait du bien à son égo. Cette belle quadra au corps mince et à la chevelure brune épaisse ne passait pas inaperçue sur cette bécane haute où sa grâce éclatait.
Le seul petit inconvénient est qu'elle commençait à ressentir au niveau de l'entre-cuisses une espèce de picotement qui, à la longue, se transforma en véritable excitation. Le ...
... contact prolongé de la selle sur son intimité provoquait une sensation de vide qu'elle ressentait habituellement quand elle avait envie de faire l'amour avec Gaétan, son mari. Mais au boulot, c'était compliqué de se soulager. Elle tenta bien de se masturber dans les toilettes mais c'était plus frustrant qu'autre chose. Un tampon hygiénique ajouté à son slip, bien que n'étant pas dans sa "période", ne produisit pas davantage d'effets, au contraire.
Heureusement, il restait Gaétan. Le soir après le boulot, lorsque son mari rentrait, elle l'attirait dans la chambre conjugale pour un coït bref mais intense. Au début, Gaétan était ravi que son épouse le désire autant et manifeste ce tempérament volcanique qui faisait le sel de leurs relations de couple. Fier de la plastique de son épouse, il n'avait aucun mal à l'honorer, pensant à la jalousie de ses collègues devant la beauté un peu animale de Karine, ses pommettes saillantes, sa grande bouche, ses seins pointus et son fessier bombé.
Néanmoins, la fréquence de ces rapports finit par entamer ses réserves de testostérone. Plus Karine exigeait de lui et moins il éjaculait avec une queue de plus en plus molle. Il finit par demander grâce au désespoir de son épouse, toujours aussi excitée par la selle de son vélo. La frustration la gagnait.
Le pire survenait quand sa collègue Gaëlle, qui lui ressemblait étrangement à l'exception de sa chevelure châtain, convoquait au bureau un amant de circonstance pour des ébats tumultueux ...