1. Clorinde revient (25)


    Datte: 16/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... l’eau.
    
    Et on est allés s’étendre tous les deux, côte à côte, au bord de la piscine.
    
    - Qu’est-ce j’en aurai passé des bons moments ici avec vous…Elle m’a pris la main. Elle l’a posée sur son ventre. Juste au-dessus du nombril.
    
    - Ça va me manquer. Vous allez me manquer.
    
    Elle a soupiré.
    
    - Et pas que vous ! Mon patron aussi. Même si c’est pas pareil. Si ça n’a rien à voir. Je l’aime bien, lui, finalement. Il m’attendrit trop son désir de moi.
    
    - Tu l’as prévenu que tu partais ?
    
    Encore un soupir.
    
    - Non. Va bien falloir pourtant…- Et Lydie ?
    
    - Elle aussi, oui. Je me demande comment elle va le prendre. Elle y tenait tellement à ce qu’on y aille toutes les deux ensemble voir les joueurs sous la douche, le dimanche, au stade de son père.. Elle s’en faisait une véritable fête. Et pas qu’à ça ! À plein d’autres choses.
    
    Elle a marqué un long temps d’arrêt.
    
    - C’est avec vous qu’elle va faire des trucs maintenant.
    
    - Ceux-là, je sais pas ! Mais d’autres, oui. Sûrement !
    
    - Et j’y serai pas.
    
    - Tu peux pas tout avoir…Elle a serré plus fort mes doigts entre les siens.
    
    - Vous savez ce que j’aimerais, là, maintenant, avant que je m’en aille ?
    
    - Oui.
    
    - Oui ? Dites !
    
    - Que je m’occupe de ton petit trou de derrière avec ma langue.
    
    - Pas seulement avec la langue.
    
    - Et avec mes doigts.
    
    - Pas seulement non plus. Avec votre queue. C’est le moment maintenant. Je veux que mon pucelage de ce côté-là ce soit vous qui l’ayez. Je veux vous ...
    ... quitter avec ce souvenir-là.
    
    J’ai repris ma main. J’ai cerné son nombril. Je suis descendu, à doigts lents, jusqu’aux abords de la douce encoche. Je l’ai effleurée. Je m’en suis éloigné. Le long de la cuisse. J’y suis revenu. Je l’ai amoureusement polie. Lustrée. Pleins et déliés. Plus bas. Son petit trou froncé. Dont j’ai fait le siège. Que j’ai humecté de ses liqueurs. Que j’ai investi. De l’index d’abord. Du majeur ensuite. Elle a élancé son bassin vers moi. Et gémi. En sourdine. Mes lèvres sur sa peau. Sur son ventre. Sur son fendu. Le long duquel ma langue a couru. Qu’elle a lissé. À l’intérieur duquel elle a opéré une rapide incursion. Son bouton. Interminablement modelé et remodelé. Ses mains se sont enfouies dans mes cheveux. Elle a imploré.
    
    - En dessous ! Oh, s’il te plaît, en dessous !
    
    Mes lèvres y ont longuement remplacé mes doigts. Ma langue s’est patiemment employée à en forcer l’entrée.
    
    Elle m’a saisi la queue.
    
    - Maintenant ! Maintenant !
    
    Mes lèvres sont remontées. Le long du ventre. Le long des seins. Ont effleuré les siennes. Mes yeux dans les siens.
    
    Et doucement. Tout doucement. Lentement. Centimètre par centimètre. Jusqu’à être bien à fond en elle.
    
    - Attends ! Attends !
    
    Elle s’est caressée. Passionnément. Éperdument.
    
    Son plaisir est monté. Le mien l’a rejointe. On a éclaté ensemble. Sans se quitter un seul instant des yeux.
    
    Je suis resté en elle. Sans bouger. Sans parler.
    
    Et puis elle a noué ses mains derrière ma nuque, m’a ...