1. Passion trouble.


    Datte: 15/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... lendemain après la réunion, elle m’invite oralement devant tout le monde, de passer à son bureau.
    
    -J’ai besoin de vos services !
    
    Elle me reçoit assise derrière son bureau. Les pieds dépassant de dessous son bureau. Avec une attirance maladive pour les pieds, mon regard se porte tout de suite dessus. Elle porte des talons hauts, et pour mon plus grand plaisir, elle a choisi comme par hasard, une paire où ses orteils sortent du bout ouvert.
    
    Dans ma tête j'hésite, mais ma queue m’ordonne de passer à l’action. Et comme je suis du genre à écouter ma queue, je m’agenouille devant le bureau et caresse du doigt le cuir.
    
    -C’est une fixation chez vous, Alain, les pieds !
    
    -Vous ne vous rendez pas compte à quel point !
    
    Je déchausse son pied droit et le caresse doucement. La réaction de Claudie est tout à fait normale. Elle est de nouveau étonnée au début puis commence à prendre goût petit à petit. A m’inviter à passer de l’autre côté du bureau.
    
    A présent sous le bureau, je lui fais remarquer que ses pieds sont justes parfaits. Pas un seul pli, pas un orteil plus tordu que l'autre, pas de rature avec le vernis à ongles. Bref, ses pieds sont charmants. Ma pulsion est tellement forte que je ne peux résister à la tentation de nicher ses orteils dans ma bouche.
    
    -C’est bien la première fois qu’il m’arrive ce genre de chose. S’exclame-t-elle.
    
    C'est l’instant que choisit ma pulsion sexuelle pour atteindre son summum d’excitation. Je me mets à lécher le pied, du talon ...
    ... jusqu'aux orteils, puis vice-versa. Et je peux vous assurer chers lecteurs, que je suis à mon aise dans cette discipline. Et cela même, pour un pied malodorant.
    
    - Je reconnais que c’est très agréable.
    
    Elle parle avec une voix douce.
    
    -Je savais que cela aller-vous plaire. Fais-je. C’est pour cette raison que j’ai insisté.
    
    -Et je ne le regrette pas de m’être fait ferrer.
    
    Cela a pour but de m’encourager à poursuivre mon œuvre. Mon cœur s’emballe. Une brusque chaleur envahit mes joues. Les yeux qui me fixent au-dessus de moi, semblent me demander autre chose. L’atmosphère se charge très rapidement d’électricité. Je lèche, je suce encore et encore…
    
    - Vous êtes vraiment très adroit avec votre langue.
    
    Je dois m’éclaircir la voix avant de pouvoir lui répondre.
    
    - C’est un honneur pour moi de donner du plaisir à une dame.
    
    - Et vous comptez juste vous limiter à mes pieds ?
    
    Je suis interloqué par ce que je viens d’entendre. Mais aussi très motivé à passer à autre chose. Je porte mon regard plus haut. À l’intersection de ses jambes. Là où la touffe noire du pubis de Claudie descend vers le renflement du sexe et forme comme un écrin à la longue fente rectiligne de chair tendre et rose qui palpiter sous mes yeux. C’est une vision si inouïe que je ne peux détacher le regard. Je reste coït, la cochonne ne porte même pas une culotte. Je halète. La sueur perle à mes tempes. Je finis par lui empoigner les jambes, les ouvrir encore, et j’avance ma tête pour l’enfouir ...