La Belle des Années Folles 03
Datte: 14/02/2024,
Catégories:
Première fois
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... poilue et très ouverte, ruisselante de cyprine et de salive.
En effet, tour à tour, les deux ou trois hommes qui l'entourent, viennent s'agenouiller devant le fauteuil et chacun à leur tour, la tête entre les cuisses ouvertes, ils lèchent la vulve sur toute sa longueur. Pendant que l'un suce la blonde, les deux autres, se placent de chaque côté d'elle ; elle suce l'un et branle l'autre... L'un lui roule des patins et lui caresse les seins, l'autre lui suce les seins, la main glissée sous son cul ouvert, il lui met un doigt dans son petit trou du cul...
Sous l'effet des caresses, des coups de langue et des succions qui vont du clito au petit trou, la jeune femme décharge comme une folle... Elle blasphème en gueulant des obscénités et envoie des jets chauds de cyprine au visage de ses suceurs, qu'elle inonde de la racine des cheveux au torse... Tous les deux ou trois passages de mecs, elle réclame en hurlant qu'elle voudrait être prise au con et qu'il ne faudrait pas tarder à la baisser bien à fond!
Bientôt, un des hommes s'exécute et vient la baiser dans le fauteuil, lui maintenant les jambes en l'air, tandis que les autres s'affairent autour d'elle ; qui l'embrassant, qui la caressant, qui lui mettant par-dessous un doigt dans le cul...
De temps à autre, elle demande avec autant de conviction à être prise derrière par l'entrée la plus étroite, celle de son joli petit cul. ...
... Ainsi enculée, elle jouit encore plus fort... Ces courtes séances de baise sont toujours rapides et ne durent pas bien longtemps en quatre ou cinq allers-retours, le type décharge et surtout la belle oblige le mâle à la déconner prestement, pour qu'elle puisse décharger en longs jets qu'elle expédie jusqu'à deux trois mètres du fauteuil...
Au fond de la salle, plus loin, dans un coin sombre que Jeanne ne distingue qu'à grand peine, cinq ou six hommes et sans doute deux femmes, forment un autre groupe. Une femme, selon toute vraisemblance, est prise en double ; elle suce en même temps deux ou trois autres types dont les bites sont mises à hauteur de son visage...
L'autre femme, les fesses appuyées sur un des bras du canapé, tantôt se branle en suçant la bite d'un mec à sa gauche, tantôt se penche en avant et passe sa langue entre les fesses du mec qui encule la femme prise en double... Cette baise particulière en double, n'est pas sans rappeler à Jeanne son dépucelage par le Casi, le Noir et l'autre blondinet, un jour de 1916 dans le fossé d'un chemin de Saintonge.
A voir ainsi les hommes et les femmes baiser et décharger sans relâche, Jeanne en vient à se demander où ils puisent tant de ressources et d'énergie... Il n'y a pas un seul instant, pas un seul moment, où il n'y ait pas un homme ou une femme qui n'éprouve un orgasme ou ne décharge bruyamment...
A suivre, chapitre 6...