Les lapins randonneurs - Histoires de Sexe

Les lapins randonneurs

... attrape ce sein appétissant… De son côté, Carine parcourt son torse de sa main libre, puis son ventre jusqu’à sentir son gland pas très loin de son nombril… il bande, elle l’aurait parié !

Leur baiser fait une pause, ils sont heureux de se retrouver, de se toucher. Elle tend l’oreille, c’est le silence complet, ils peuvent continuer, la tente voisine continue de dormir… Elle l’embrasse en attrapant ses lèvres avec les siennes, puis elle fait descendre ses baisers le long de son cou. Carine ne peut s’empêcher de gober son lobe d’oreille. En représailles, il lui attrape une fesse à pleine main. Elle continue sa descente jusqu’à son torse, s’amuse avec ses tétons quelques instants puis pivote pour se retrouver tête-bêche avec lui… L’avantage du 69, c’est qu’il limite les secousses de la tente, pense-t-elle…

Carine a à peine le temps de mettre sa queue dans sa bouche que Jérôme a déjà mis sa langue sur toute la longueur de sa fente… et a presque atteint sa rondelle…

Ils continuent ainsi de longues minutes, puis, par un gémissement, Carine comprend qu’il ne va pas tarder à venir. Elle est sur le point de venir aussi… C’est lui qui vient en premier, d’un mouvement de hanche, il lui enfonce sa queue au fond de la bouche, éjaculant presque dans son gosier. Elle vient de suite derrière, faisant attention au bruit, mais ne pouvant résister à un dernier soupir.

— Bonjour les lapins !

Surpris comme si la tente était transparente, Jérôme leur répond :

— Bonjour, désolé ...

... si on vous a réveillé.
— Pas de soucis, on était réveillés… mais… on n’osait pas…

La phrase hachée de Sophie les surprend, mais, en tendant mieux l’oreille, ils comprennent… juste avec le son, ils imaginent très bien la scène : Éric et Sophie sur le côté en position de la cuillère, avec Éric pénétrant Sophie par-derrière, leur faisant face malgré les deux épaisseurs de tente.

Éric ne tarde pas à venir dans un petit grognement. Sophie pousse un petit « Oh putain ! » qui fait comprendre à leurs nouveaux amis qu’elle a joui.

— Alors ? Ça fait du bien de bon matin ?
— Oups !

Tous les quatre éclatent de rire.

Étant tous réveillés, ils décident de s’activer pour partir plus tôt… Ils sont trois à sortir de leur tente en sous-vêtement et t-shirt. Malgré la présence de personnes qu’il ne connaissait pas la veille, Jérôme ne change pas son habitude d’aller pisser nu. Personne ne dit rien, mais Sophie et Éric l’ont bien vu en allant également faire leur petit pipi du matin…

Le petit camp s’anime rapidement, les tentes sont mises au soleil afin qu’elles sèchent au maximum pendant le petit-déjeuner. Chacun s’affaire, ils sont prêts tous les quatre presque en même temps… Chacun a bien envie de continuer la route à quatre, l’appréhension de la veille a disparu. Le soleil se lève, ils commencent leur marche du jour comme s’ils avaient randonné ensemble plusieurs fois.

À la pause de midi, ils se partagent leur sobre apéro(quelques tranches de saucisson et des graines) en ...