Yüko
Datte: 12/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
asie,
amour,
noculotte,
caresses,
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple,
couplea3,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... sous mon malaxage appuyé.
— Ainsi tu veux te faire baiser, eh bien, c’est le moment, dis-je en la faisant glisser vers la première porte coulissante. Allez, à poil, tout de suite ! Et fais voir ce que tu sais faire…
Étonnée et impressionnée par mon ton péremptoire et mon tutoiement inhabituels, elle détache lentement le long obi, ceinture de son kimono. Je quitte prestement mon costume, ma chemise et mon boxer.
— Allez, plus vite que ça, en désignant la culotte restée en place.
Elle s’exécute. Dodue, trop, c’est évident. Il y a cependant une harmonie certaine dans ses rondeurs. La taille reste fine malgré le petit ventre formé, les courbes s’enlacent avec la même harmonie que celles de Mahoko, simplement en plus concentré. Et je remarque la petitesse de ses pieds pour la première fois, elle doit à peine chausser du trente-cinq, les pointes resserrées et des orteils comme de petites saucisses à apéritif. On en mangerait. Je m’avance vers elle avec les mains sur les hanches, le sexe à peine excité. Elle comprend, tombe à genoux et se met en devoir de me donner la raideur nécessaire. Il faut rendre à César ce qui lui appartient. Cette fille est une virtuose de la fellation. Tout y passe. Caresses, succions, aspirations, petits bisous, coups de langue, malaxage des testicules, agacement du méat puis du frein, masturbation de la hampe à vitesse variable, gorge profonde, regard attentif vers les signes de mon plaisir et, ce que Mahoko ne me fait jamais, gratouillis de ...
... l’anus et gobage des testicules. Du grand art, la frangine, reine de la pipe ! Tellement qu’il est temps de passer à autre chose si je veux faire mieux que de m’épancher dans son gosier.
Je la pousse à plat dos sur la table basse. À moi de lui montrer le cunnilingus à la française. Immédiatement, je perçois une grosse différence avec ma femme. La fragrance qui émane du sexe de Yüko est beaucoup plus capiteuse. Je manque de mots pour la qualifier, mais je dirais que c’est celle d’une femelle en rut. Tout comme le goût de ses sécrétions, bien plus fort, plus poivré, plus acidulé. Mahoko joue dans la délicatesse, Yüko dans l’animalité. C’est terriblement excitant, comme si sa propre animalité réveillait la mienne, et d’animalité à bestialité il n’y a qu’un pas que je vais vite franchir.
Une autre caractéristique de cette femme que je découvre, c’est sa promptitude à jouir. Je n’ai pas le temps de sucer son clitoris plus d’une minute que déjà ce corps grassouillet se crispe en couinant comme un goret et en disant des trucs que je ne comprends pas, mais que je transcris phonétiquement :« higo-higo-higo… ». Je suppose que ça veut dire « je jouis », elle le répétera à maintes reprises. De son vagin sourd un ruisselet permanent de cyprine épaisse et odorante qui suit sa raie et me permet de plonger un index explorateur dans sa petite rosette, lui tirant de nouveaux couinements. Pour terminer le travail d’approche, je lui fourre deux doigts dans le vagin et fais ce que j’ai vu ...