Yüko
Datte: 12/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
asie,
amour,
noculotte,
caresses,
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple,
couplea3,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... le préau par la terrasse de bois, permet de faire trempette dans une eau claire, peuplée de petits poissons exotiques, une eau chauffée à près de trente degrés par des panneaux solaires sur le toit du préau. Quand il fait plus froid, c’est encore plus charmant, car une brume s’élève de cette eau tiède et envahit partiellement le jardin. La tradition veut qu’on s’y plonge nu, on s’assoit sur le fond ou sur des blocs de granit, et l’on peut discuter, lire, manger, voire batifoler. Mahoko est partie coucher Naomi pour sa sieste, Yüko est déjà dans l’eau avant que je ne m’y plonge. Délicieux. Il y a du bon dans les coutumes japonaises. Mon regard tombe alors sur le corps immergé de ma belle-sœur, la rendant encore plus pâle. Elle est à moitié assise, moitié accroupie sur le fond, les jambes ouvertes en « M » comme savent le faire les Japonaises. En apesanteur, ses seins prennent un gonflant superbe et ballottent doucement au gré des mouvements de l’eau. Sa toison très longue et très fournie flotte comme une touffe d’algues fines, découvrant par instants sa grotte rosée ourlée de brun, toute pareille à celle de ma chérie. Et là, je me mets à bander irrépressiblement. C’est évidemment la première chose que voit mon épouse quand elle vient nous rejoindre.
— Eh bien, mon amour ! C’est Yüko qui te met dans de telles dispositions ?
— Euh non… je rêvais à toi, ma belle…
— Tss-tss-tss ! Il fera beaucoup plus chaud quand je te croirai. Mais ne t’excuse pas, ça me fait même plaisir. ...
... Donne, que je te soulage…
Et sans la moindre gêne, Mahoko se met à me branler sous l’eau d’un vigoureux coup de poignet. Je ne sais pas quoi faire, je ferme les yeux et je subis, puis les ouvre pour les contempler toutes les deux alternativement. Les deux mêmes sourires impénétrables, eux. Yüko cependant ne perd pas une miette de cette branlette improvisée, se racle la gorge et avale sa salive avec difficulté quand enfin de longs rubans nacrés jaillissent dans l’eau claire. Mahoko les attrape un à un et les étale sur ses seins comme une crème de beauté. Fin de l’épisode érotiquissime.
Ce n’est que plusieurs semaines plus tard que Mahoko revient à la charge :
— Elle te plaît bien ma sœur, je crois ?
— Chérie, c’est toi et toi seule que j’aime, tu n’as pas à en douter.
— Ce n’est pas ce que je te dis. Je ne te parle pas d’amour, mais de désir.
— Écoute, si tu veux revenir sur l’épisode du bassin, j’étais confronté à une femme nue qui de plus te ressemble par maints aspects. J’ai eu une réaction de mâle et tu en as profité pour me coller la honte de ma vie.
— Honte ? Pourquoi honte ? Tu as un bel organe, bien plus gros que la moyenne japonaise, tu bandes bien et ta semence est sublime.
— Merci, mais ce sont des choses intimes, pas publiques.
— Devant ma sœur, ce n’est pas en public, comme tu dis. Ça reste privé, intime.
— Je parle d’intimité de couple.
— Et moi je te parle de ma sœur. Elle a admiré et beaucoup apprécié ce moment. Je l’ai un peu fait exprès pour ...