1. l'été était chaud...


    Datte: 11/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Pour pouvoir exécuter mon plan magnifiquement réfléchit, je me devais de quitter la pièce avant la fin du film, que je partageais avec deux de mes tantes, dont Christiane, et une flopée de cousins et cousines. Et cela pour me rendre dans la salle de bains.
    
    Et comme je l’avais élaboré pendant plusieurs nuits déjà, je me planquais comme prévue dans le réduit se trouvant derrière la porte d’entrée et dont cette vieille bâtisse en dégorgé à foison.
    
    J‘avais bien sûr, comme vous pouvez l’imaginer, refermé la porte sur moi. Et là dans le placard, loin d’être commodément installé, je pris mon courage en patience, attendant patiemment la venue de ma tante. Parce que j’étais sûr qu’elle allait venir. Comme elle le faisait à chaque fois avant d’aller prendre le chemin de sa chambre. Une chose que j’avais longuement étudier, pour l’avoir à mainte fois espionner ces derniers soirs.
    
    Je m’aperçus alors que j’avais hormis d’éteindre la pièce. Mon plan était simple, j’attendais qu’elle s’enferme, et une fois là je sortais de ma cache et je me branlais devant ses yeux. J’étais dans une phase que je foutais comme l’an mille des retombées, sachant très bien qu’elle n’en ferait rien. Une réprimande, voir une fessée, rien de bien fâcheux. le jeu en valait la chandelle. Je n’étais pas vraiment nerveux. J’étais en fait excité que ma tante me surprenne en train de me faire du bien.
    
    J’étais impatient que Christiane arrive. J’avais attendu encore quelques minutes avant d’entendre des pas ...
    ... dans le couloir. Je fermais mes yeux en implorant fort le ciel que ce soit Christiane et que je puisse, avoir la chance de la voir nue. Juste le fait d’y pensée, ma queue se mit à enfler. Comme souvent dans ces instants là, ma main s’en saisit et se mit à la branler.
    
    Puis me tante entra, dans toute sa splendeur et pour mon plus grand plaisir. Elle se dirigea jusqu’au lavabo et se débarrassa sans attendre de la culotte qu‘elle portait, pour la poser à cheval sur le rebord de la baignoire. Après s’être longtemps regarder dans le miroir, elle se saisit de sa brosse à dent, elle y déposa de la pâte. Il était temps pour moi de quitter ma planque. Le cœur battant la chamade, je poussais la porte qui pivota sur ses gonds.
    
    Tel un conquérant face à une nouvelle terre, je me sentais fier à présent d’avoir eut le courage de franchir cette étape, que je citerai de très risquer. Sachant très bien que ma tante pourrait alerter dans un cris une bonne partie de la famille, et ainsi les prendre à témoin sur mes agissements pervers. Je n’en menais pas large, ma respiration se faisait saccadée, alors que je verrouillé la porte d‘entrée. Un bruit qui alerta ma tante qui se retourna d’un bloc. Un court silence s’établissait dans la pièce alors que je me tenais, debout, nu, précédent une belle érection.
    
    - Alain ! Mais… lâcha ma tante.
    
    - Mais quoi ? J’avais bien compris l’autre soir (lors d’un jeu), que tu voulais en voir un peu plus, je me trompe ?
    
    -Oui… non, enfin ! Lâcha-t-elle, ...
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