1. À bout de laisse


    Datte: 09/07/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Jolasuce, Source: Hds

    ... ses doigts fortement onglés, ce n’était pas des plus agréables, il me déchirait l’anus.Je préfère les queues plutôt que les doigts à moins qu’ils soient un prélude à la pénétration d’une verge. Mais lui, la queue molle, ne l’a jamais offerte ni à ma bouche ni à ma vulve, le seul contact avec lui, c’était ses mains assez intrusives. Il a pris ma ceinture transformée en laisse et m’a arraché de mon siège pour m’entraîner nu et à quatre pattes selon son ordre à travers les couloirs, me frappant du cuir de la ceinture chaque fois que je levais les yeux vers lui. Je devais garder les yeux baissés. Il m’exposait à tout promeneur du sexe-shop en m’offrant soit à la suce ou à la baise.
    
    Ce jour-là, il y avait pourtant du passage mais pas de client vraiment intéressé pour profiter de cette lope. Il m’a donc tiré jusqu’à l’étage, et il m’a conduit dans la salle au fameux lit où j’avais l’habitude de m’offrir aux passants. Dans cette pièce, il y avait un vieux à la queue pendante, il m’a obligé à gober cette dernière, relevant mes fesses pour les offrir en spectacle pendant que je tentais, de mon mieux, de donner du plaisir à ce vieux, sa queue retrouvant du volume sans toute fois se raidir suffisamment pour une pénétration. Mon maître voulait un enculeur à la teub coiffée d’un préservatif. Pendant que j’étais occupé à donner un peu de jouissance à ce client, j’ai senti une intrusion dans mon postérieur. Un engin, assez imposant qui avait de la peine à se frayer un passage dans mon ...
    ... anus pourtant visité assez régulièrement mais, c’est vrai, jamais distendu par un fist agressif. Avec une de mes mains libres, j’aidais ce berlingot à me pénétrer car la tête était passée et le reste pliait dans ma fente sans entrer dans mon canal. Je sentais sous mes doigt le caoutchouc cause de cette difficile intrusion.
    
    Je me suis retourné un instant pour voir mon agresseur du cul, c’était un noir, j’ai repensé aussitôt à mon tout premier noir, en Afrique, qui m’avait tant donné. Je lui ai dit « Oh oui, possède-moi, féconde-moi ». Mon maître s’est insurgé : « non, ne jouis pas dans son cul, il doit boire ta semence. » Je n’étais pas très satisfait de cette semi-pénétration, le caoutchouc m’enlève toute sensation de proximité avec mon enculeur, c’est comme si je m’enfonçait un sextoy, on peut s’en contenter quand il n’y pas de queue disponible. Mais une queue vêtue d’un latex c’est très frustrant quand celle-ci te pénètre, elle n’entre pas en contact intime avec ton anus et ne te versera aucune récompense pour l’offrande de ton intimité. Finalement, je me suis relevé sans obéir à mon maître et je me suis couché sur le dos relevant mes jambes écartées. Le noir a compris ma manœuvre, il a fait sauter discrètement la capote et m’a baisé en profondeur. J’étais bien, j’avais abandonné le vieux sucé, le laissant me contempler faire l’amour. La baise se faisait maintenant en profondeur et je pouvais contempler mon beau partenaire. Je réitérais ma demande de me faire féconder avec ...