Bruno se découvre
Datte: 05/02/2024,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
hbi,
poilu(e)s,
hépilé,
miroir,
Transexuels
Masturbation
massage,
caresses,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
bisex,
Auteur: François Angler, Source: Revebebe
... les remontent contre ma poitrine, ce qui fait que je glisse contre elle, offrant sans m’en rendre compte l’accès à mes fesses.
Sa main droite a atteint le creux de l’aine et, profitant de la situation, descend se faufiler dans ma raie culière. Je sens un doigt fureter à l’entrée inviolée de mon petit trou. Il le masse par des mouvements circulaires. Je ne dis rien. Il m’est arrivé lors d’activité solitaire d’avoir envie d’explorer cette partie de mon intimité sans jamais oser franchir le pas. Là, j’ai envie de me laisser faire, je suis en confiance dans les bras d’Émilie.
Je dois avouer que c’est bien agréable. Son doigt humidifié par l’huile de massage assure une pression faible mais constante sur ma rondelle. Et soudain, une phalange force l’entrée, j’ouvre les yeux surpris. Émilie me sourit, je sens une seconde phalange s’insérer en moi. Je referme les yeux. Je sens que ma verge se gonfle comme rarement je ne l’ai connu, et Émilie doit le ressentir. Oh ! La troisième phalange vient de me pénétrer. Elle s’immobilise. Je repose allongé sur le dos, la tête sur la cuisse d’Émilie, les genoux repliés sur mon torse, un doigt dans le cul, ma verge gonflée à son paroxysme, une paume de main caressant ma hampe. Je tourne la tête, un léger bruit vient d’attirer mon attention.
Là, au pied du lit, debout devant la penderie Juliette, dénudée avec son sexe en érection. Depuis combien de temps, est-elle là ? Qu’a-t-elle vu exactement ? Émilie se penche et m’embrasse. Cette ...
... tendresse me rassure. Tacitement, j’accepte la présence de mon ami d’enfance, le lit ploie sous le poids de son corps qui nous rejoint. J’ai franchi un cap dans mon esprit, je me soumets à mes fantasmes et à ces deux femmes. Le doigt d’Émilie se retire de mon fondement. Étonnamment, je ressens comme un vide.
Je sens les deux mains de Juliette se poser sur mes cuisses, naturellement je bascule un peu plus sur le dos. Je suis désormais comme une femme attendant de sentir le dard de son amant la transpercer. Je sens que l’on dépose sur mon petit trou un produit froid, puis que l’on masse à nouveau ma rondelle, un doigt me pénètre avec une grande facilité, bientôt rejoint par un second. L’introduction de ces deux doigts s’est faite si facilement que j’en suis étonné. Ils s’activent en moi. Je sens que l’on masse la prostate. Mon Dieu que c’est bon ! Je garde les yeux fermés. Je savoure le moment. Intérieurement, j’espère plus. Et puis, voulant être sûr que ce n’est pas un rêve, je rouvre les yeux.
À ma droite la belle Émilie est accroupie, les jambes légèrement écartées elle m’offre la vue de sa chatte poilue, sa fente est ouverte, je vois un trou béant qui palpite, duquel dégouline une mouille épaisse qui colle ses poils entre eux. Je soulève la tête, et là, entre mes cuisses, Juliette agenouillée, son poignet émergeant de mes fesses, c’est donc bien ses doigts qui me fouillent. Je vois sa bite dressée qui va très certainement me dépuceler. Je relâche ma tête m’abandonnant à ...