Self Domination Ch. 04
Datte: 03/02/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... marine, sans instruction je glisse un gode imposant dans mon cul après avoir serré mon corset, c'est vraiment le minimum. Défaite je vais à ma soutenance qui n'est qu'une formalité. C'est cela le pire. J'ai les félicitations du jury, je me force à sourire, je suis morte à l'intérieur. Je connais trop Louise pour savoir qu'elle ne reviendra pas sur sa décision.
[SMS de Louise]
Tu as pris ta décision, tu as repris ta liberté et je ne veux plus te voir.
Quelle violence, les larmes coulent, j'ai envie d'être battue pendant des heures. Je ne sais pas où aller, je n'ai rien pris, je n'ai pas d'amis et mes parents semblent satisfaits de ne plus me voir non plus. Quand je leur ai demandé de me loger quelque temps j'ai reçu une fin de non-recevoir qui m'a choquée. Maintenant que je suis diplômée, je dois me débrouiller. Et moi qui culpabilisais, ils voulaient simplement se débrasser de moi. Louise aussi. Je n'ai plus mon appartement, pas de revenus, pas de perspective. En quelques heures, mon bonheur s'est totalement écroulé. Et ce diplôme qui ne me sert à rien, je ne me vois pas prendre un job de juriste dans un cabinet d'avocat, ni de passer mon barreau. Et j'ai perdu Louise. Même Iel ne me répond plus.
J'échoue dans notre club lesbien, ne pensant à aucun autre endroit. Charlotte, la patronne, me voyant effondrée, vient m'accoucher. Je pleure de plus belle, elle me serre dans les bras, cela fait du bien. Elle me propose le gite et le couvert, le temps de me retourner, ...
... en échange je m'occupe du bar quand elle en a besoin. Je lui suis tellement reconnaissante. Elle tique quand je lui explique que je n'ai pas besoin de matelas, mais sais bien que je suis étrange et ne cherche pas à comprendre. Elle m'explique les rudiments de l'exploitation du lieu, et m'envoie me coucher pour me remettre de toutes mes émotions.
J'ai tellement besoin d'avoir mal, et je n'ai rien de mes jouets préférés. J'attache une cordelette trouvée par terre autour de mes seins, aussi fort que je peux et je les relie à l'anneau de mon clitoris, lui aussi en extension terrible. Je suis courbée en position fœtale, les seins me tapent, le clitoris me déchire, cela m'apaise. Je m'endors comme un bébé. Je préfère ne penser à rien.
Les jours se passent, la souffrance ne fait que s'accroître. Mes messages à Louise restent sans réponse. Je lui dis toute ma dépendance, mon amour, mais aussi que j'ai eu tort, que je comprends ce qu'elle me demandait et que j'ai été idiote, que mes parents s'en moquent et que moi je n'ai rien à faire de ce diplôme. Je lui dis que je dois encore apprendre, et je rampe plus bas que terre, en vain. Je passe l'essentiel de mon temps au club, soulageant Charlotte qui en profite pour s'occuper un peu d'elle. J'aime cette ambiance, cela me fait du bien, mais ne calme en rien mes besoins si profonds.
- Marie? (Charlotte m'appelle une fois que j'ai terminée de nettoyer le sous-sol du club, nous allons bientôt ouvrir)
- Tout va bien? (Je suis un peu ...