1. Virginie Escort (4ème et dernière partie)


    Datte: 02/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds

    ... geste, ouvrit en grand la bouche. La belle tendit la langue comme pour recevoir le foutre qu’elle avait envie de voir venir devant elle. Shandernagor en fit autant mais ne semblait pas aussi doué que Valentin. Cela était peut-être du fait de l’âge.
    
    - « Je vais jouir ! » dit Valentin.
    
    La cadence s’accéléra. La belle était à califourchon sur le sol devant Valentin et attendait que ce dernier jouisse. Virginie lui offrait son visage, sa bouche. Elle savait dorénavant que les hommes aimaient bien cela.
    
    Valentin s’astiqua la queue frénétiquement. Dans un râle de plaisir, il prévint Virginie qu’il allait venir :
    
    - « Oooh ! c’est trop bon ! Je jouis ! »
    
    Virginie, de cette expérience, eut le visage et le menton recouverts de sperme. Shandernagor pendant ce temps continuait sa besogne. L’homme fermait les yeux pour mieux se concentrer. Virginie se tourna vers lui pour recevoir ce qu’elle attendait de lui. Pour aider Shandernagor à jouir, elle le repris un peu dans sa bouche le lapa sur le gland en donnant quelques petits coups de langue :
    
    - « Tu es une vraie chienne ! » ajouta Monsieur Henry. « J’adore ça ! »
    
    Sans s’en rendre compte, Virginie exauça tous les rêves et fantasmes de Monsieur Henry. L’homme en effet voulait voir une petite pute sucer à quatre pattes comme une chienne. Il trouvait cela élogieux pour la femme quand d’autres s’en offusqueraient royalement. L’homme pourtant n’était pas du genre à ne pas respecter les femmes. A la vérité, il était un ...
    ... vrai gentleman et ne faisait rien contre leur volonté. En revanche, il aimait tout particulièrement quand ces dernières se comportèrent comme des salopes. Il voyait en Virginie la femme idéale : belle, savante, instruite, sensuelle et captivante, et gourmande.
    
    La belle savait en effet comment faire jouir les hommes et savait ce qu’ils aimaient tout particulièrement. Bob crut que sa belle avait appris cela au contact de Nono ou de Dominique car l’un et l’autre lui avaient initier à des pratiques que la belle s’étaient alors défendu de faire jusque-là. Dominique, de surcroit, avait baiser la belle jusque dans son lit conjugal, là où il n’y eut que Bob auparavant.
    
    Virginie, Bob le savait, n’avait pas froid aux yeux. Pourtant, il était loin d’imaginer que sa chérie tant aimée se prostituerait un jour pour de l’argent. Certes, il ne s’agissait pas d’une prostitution de rue mais d’Escort pour hommes riches. Virginie pendant un an fréquenta les plus beaux palaces parisiens et rencontra souvent des hommes importants. Bob était incapable de dire combien d’hommes exactement la belle avait-elle rencontré dans ces conditions. Il en imagina tout au plus une dizaine. C’était peut-être moins. C’était peut-être plus.
    
    Virginie avoua à Bob, plus tard dans une lettre au moment de leur rupture, qu’elle n’avait pas voulu cette vie et qu’elle ne savait comme tout cela était venu. Elle avoua aussi à Bob qu’elle n’aimait que lui ; ce que Bob cependant peinait à croire car la belle l’avait si ...