1. Mission en Érébus


    Datte: 30/01/2024, Catégories: groupe, fh, ff, freresoeur, BDSM / Fétichisme Transexuels fgode, merveilleu, fantastiq, Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe

    ... armes nous escortèrent à notre arrivée et nous conduisirent à un sous-sol du palais. Valentin connaissait visiblement le chemin. Il y avait une vingtaine de personnes dans la salle. Celle qui devait être la présidente salua Valentin et s’adressa à nous.
    
    — Bonjour, Valentin, vous avez fait vite, merci d’avoir fait démarrer les investigations. Les premiers éléments indiquent que leFlamant Roseest vide de tout occupant·e. Si je peux me permettre, qui est la dame qui vous accompagne ?
    — Je vous présente la Générale d’ArméeAline De La Forêt, anciennement cheffe des services secrets d’un des pays de la Terre. Elle fut la cheffe de la Générale Lia de Beaumont et autorisa sa mission pour la Libération de notre pays. Il se trouve qu’Aline et moi avons des ancêtres communs, ceux qui amenèrent il y a trente mille ans le premier miroir en Érébus. Elle a consacré sa carrière à l’espionnage, au contre-espionnage, au contre-terrorisme et à la libération d’otages.
    — Générale, je suis très impressionnée. Je regrette d’être obligée de dire que vous tombez à la fois au bon ou au mauvais moment. J’eus aimé faire votre connaissance dans d’autres circonstances.
    — Merci Madame la Présidente. Vous pouvez compter sur mon entière disponibilité et tout mon dévouement.
    
    Les personnes présentes semblaient elles aussi impressionnées par ma présence. Le briefing commença, effectué par un homme qui se révéla être le directeur de la sécurité intérieure du Ministère, collaborateur de premier niveau ...
    ... de Valentin.
    
    — Nous estimons que les événements se sont produits vers trois heures du matin. La fête battait alors son plein. Seuls étaient présents les vingt magiciens diplômés de l’école d’été. Les professeur·e·s s’étaient éclipsés vers minuit pour les laisser entre eux.
    — Je confirme, dit Valentin. Anna-Maria y était en tant que cheffe de stage jusqu’à minuit.
    — Selon les premières analyses de la police scientifique, les kidnappeurs auraient utilisé un puissant brouilleur magique et du gaz anesthésiant. Nous avons trouvé des traces quantiques du brouillage dans la nappe du subespace.
    — Pardon, un puissant brouilleur ? fit Valentin. Il n’y a jamais eu de brouilleur magique autre que les modèles individuels utilisés par les anciens dignitaires de la milice et du PNDM.
    — Il faut croire que les terroristes ont réussi à en fabriquer de plus gros modèles, dit la présidente.
    — Et qu’il y a nécessairement des complicités industrielles, fit celui que j’identifiai comme le ministre de l’Industrie. Je vais lancer une enquête de ce côté.
    — À ce stade, on s’en fiche un peu, fit Valentin visiblement énervé. Nous n’avons que 72 heures, moins même. Que fait-on ?
    — Devons-nous libérer les anciens dignitaires emprisonnés et céder aux rebelles ? demanda un ministre.
    — Si je peux me permettre d’intervenir, dis-je, nous avons un principe dans mon pays : on ne traite pas avec les terroristes.
    — Ce qui veut dire ? demanda la présidente.
    — Il faut agir, les trouver, libérer les otages ...
«12...456...19»