Sur la plage (1) - Histoires de Sexe

Sur la plage (1)

... à sa bite.

Le désir lui brûlait le visage, tous ses traits disaient qu’elle le voulait, tout son corps aussi d’ailleurs ! Elle se trémoussait outrageusement devant lui sur les mouvements du membre factice en le regardant comme pour lui dire :

— Viens, c’est toi que je veux sentir entrer dans moi.

C’est finalement moi qui décidais de briser le silence, craignant que si ça durait trop longtemps, elle ne se ressaisisse et se referme. Je fis entrer doucement le gode en elle en lui disant :

— Tu sens sa bite en toi ?

Ses beaux yeux se refermèrent, puis elle les rouvrit, me regarda et me dit :

— Je le veux... s’il te plaît... dis-lui de me prendre...

— Dis-le lui, toi...

Tournant sa tête vers lui, elle planta ses yeux dans les siens et lui murmura, mais assez fort tout de même pour qu’il entende :

— Viens !

L’homme qui, semble-t-il n’attendait que ça, s’agenouilla entre ses cuisses ouvertes. Je retirais le gode de sa chatte qui resta entrouverte dans l’attente de le recevoir.

Ne voulant pas me laisser complètement évincer et garder « la main » en quelque sorte, je saisis moi-même la queue de l’homme tendue comme un arc dans ma main et je la dirigeais vers la fente béante et accueillante de ma femme.

Il était dur comme du bois, sa queue était très recourbée vers le haut. Il allait lui masser son point G formidablement bien le salaud me suis-je dit à ce moment... J’ai aimé sentir ce sexe masculin dans ma main...

C’était bien différent des ...

... godes et autres objets que je lui avais introduits jusqu’alors !

Enfin une vraie bite bien vivante ! Et j’allais la lui mettre moi-même à cette salope ! Elle allait la sentir passer celle-là et, espérais-je, je pensais à ce moment-là,

— Peut-être ne pourra-t-elle plus se passer de se faire offrir à des hommes bien membrés comme lui... qu’est-ce que j’aimerais qu’elle m’en redemande, plus tard, qu’elle refasse allusion à cette bite, en me disant qu’elle souhaitais se sentir à nouveau pleinement possédée comme cette première fois...

Loin de ressentir de la jalousie, comme il m’était arrivé de le redouter par le passé, je n’éprouvais que du plaisir et une immense excitation à la voir enfin se laisser aller à sa jouissance, uniquement pour le plaisir du sexe.

Quand je le poussais dans le ventre de ma chérie, les yeux de celle-ci s’ouvrirent en grand d’étonnement, sa bouche aussi d’ailleurs, une longue plainte sortit de sa gorge tandis qu’il s’enfonçait lentement en elle. Je regardais avec émotion ce gland hypertrophié écarteler les lèvres intimes de mon amour, forcer un peu malgré le fait qu’elle ait déjà été préparée par le godemichet et qu’elle soit mouillée comme une chienne. Puis les lèvres de sa chatte se sont refermées autour de la hampe qui commença de coulisser en elle provoquant des gémissements de bonheur de la part de mon épouse... non, plutôt de ma putain !

Qu’est-ce que j’aimais la voir faire sa pute, se donner à ce mâle puissant, prendre autant de ...