Une belle rousse
Datte: 25/01/2024,
Catégories:
fh,
frousses,
caresses,
Oral
69,
poésie,
rencontre,
extraconj,
Auteur: Piewy, Source: Revebebe
C’était il y a quelques années…
Mon histoire débuta il y a près d’un an, lors du concert de fin d’année (j’étais musicien), quand je vis surgir devant moi une belle jeune rousse qui m’acheta un billet d’entrée et me demanda à qui il fallait s’adresser pour venir jouer avec nous. Je le lui indiquai puis la perdis de vue, mais dans ma tête je me dis que les répétitions allaient devenir de plus en plus passionnantes. Je ne croyais pas si bien dire.
Lors de la répétition suivante, elle était là, assise devant moi. Avec les copains, les remarques quant à ses courbes généreuses commencèrent à circuler. Mais après quelques semaines, les joueurs invétérés que nous étions, la voyant s’intéresser à nos parties de cartes, nous l’invitions à notre table pour partager l’un puis l’autre verre. Là, les plaisanteries devenaient de temps en temps plus précises. Un soir, ayant appris qu’elle était venue à pied, je me proposai, en bon chevalier servant, de la raccompagner en voiture. Là, la situation commença à basculer. D’un simple arrêt devant chez elle, ça évolua en des discussions de plus en plus longues, puis en des mains baladeuses de plus en plus entreprenantes… D’abord juste le cou, puis, de semaine en semaine, une main qui remontait sous la robe jusqu’à mi-cuisse, qui descendait dans le dos jusqu’au soutien-gorge ou qui effleurait le contour de seins.
La situation devenait des plus électriques : oserais-je tromper ma femme ? Sophie (cette rousse qui mettait une boule dans mon ...
... ventre à chaque fois que je pensais à elle, et surtout les soirs de répétition), avait-elle aussi cette envie de mêler nos deux corps dans une joute amoureuse ?
L’orage devait arriver et ce fut ma femme qui m’en donna l’occasion, sans le savoir bien entendu ; elle devait partir une semaine en déplacement. L’occasion ou jamais ! Mais en aurais-je le courage ?
Le soir fatidique arriva… Hélas, une mauvaise nouvelle par rapport à son boulot fit avorter l’occasion.
Je me décidai alors pour son anniversaire de faire ce qui avait fait craquer ma femme : lui écrire le poème ci-dessous :
Mais étant timide, je ne l’avais signé qu’avec une abréviation de mon prénom.
La répétition après son anniversaire fut le tournant de notre relation. Dans la voiture, alors que notre petit jeu du chat et de la souris reprenait, elle me demanda, tout à coup, si le poème était de moi. Je répondis que oui et elle me remercia en se penchant vers moi pour me faire une bise qui devint un baiser ardent. Une étreinte violente nous unit, nos langues partirent dans une ronde effrénée tandis que nos mains parcoururent nos corps en émoi. Après de longues minutes, tous deux hors d’haleine, nos lèvres se séparèrent à regret et elle me dit :
— Viens !
Nous sortîmes en toute hâte de la voiture et montâmes dans son appartement. Dès que la porte se referma, mes mains et ma bouche reprirent le ballet sur son corps. Nous nous déshabillâmes et je découvris ses seins, magnifiques, que je m’empressai de ...