COLLECTION JEUNES – VIEUX. La grêle (1/2)
Datte: 24/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... inverse.
Est-ce possible, qu’un orage monte si vite, il est vrai que pour venir, j’avais le vent dans le dos et les nuages aussi.
J’ai cinq kilomètres à faire, j’en ai fait deux lorsque le ciel devient d’encre et que les premières éclaires zèbres.
De grosses gouttes commencent à tomber, il y a un noyer en bord de route, je m’arrête pour m’abriter lorsque les premiers grêlons commencent à tomber.
Je vois une voiture venir vers moi, je suis déjà trempé, elle s’arrête et un homme en descend malgré les trombes d’eau.
• Monter petite imprudente, un coup de foudre sous un arbre et vous êtes morte, montez !
Terminée la peur d’un serial tueur, l’homme semble avoir le même âge que le voisin de Bastien.
J’avais complètement oublié que de se réfugier sous un arbre s’était extrêmement dangereux, j’avais plus peur des grêlons de cinq centimètres de diamètre.
• Mon vélo ?
• On s’en occupera plus tard, lorsque l’orage sera passé, qui prendra un vélo sous cet orage.
J’habite à quelques kilomètres et vous pourrez vous sécher.
Nous roulons et je me retrouve à quelques maisons de chez Bastien et du voisin qui voulait prendre soin de moi.
L’homme beau gosse, certainement la cinquantaine déclenche l’ouverture auto du portail et après du garage, avant de franchir l’entrée, quelques gros grêlons tombent.
J’en entends sur le toit de la voiture et un sur le pare-brise à ma hauteur et qu’il l’éclate, en même temps qu’un éclair et que le tonnerre déclenche un ...
... bruit fracassant.
L’homme vient d’arrêter sa voiture, la peur me fait lui sauter autour du cou.
• Eh ! tranquille jeune fille attendez que nous fassions les présentations, j’ai des principes mademoiselle !
Bien à l’abri, de la grêle qui frappe les tuiles et le sol le temps que la porte du garage se referme, l’homme sort de sa voiture et ouvre le coffre de sa voiture.
Il vient m’ouvrir ma portière avant de m’ouvrir un plaide qu’il a pris dans son coffre.
• Viens, enroule-toi dans cette couverture chaude, inutile de risquer d’attraper une pneumonie.
Il me la pose sur les épaules m’enroulant dedans, il a raison dans mon maillot et ma petite jupe d’été, je commençais à frissonner.
Il me conduit devant un sèche-linge.
• Défait tes affaires comme je défais les miennes, je vais les sécher, lorsque l’orage sera passé, tu pourras te rhabiller et nous aviserons.
Il ôte sa chemise et son pantalon après avoir ôté ses escarpins.
Le temps qu’il est venu me secourir, le déluge qui s’abattait sur moi, l’a aussi rincé.
Une fraction de seconde j’ai peur qu’il enlève son boxer, mais je suis tombée sur un homme de principe.
J’ai facile à l’abri de la couverture lui donner le peu que je porte sur le dos après que j’ai, moi aussi enlevé mes escarpins en lanières de cuir complètement fichu.
• Viens, je vais nous faire boire deux doigts de Porto blanc, ça va nous réchauffer .
Par une porte de communication nous évitant de ressortir à l’extérieur, il me conduit ...