Un soir de virus - malade comme un chien
Datte: 24/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Lookingforvenus, Source: Hds
... coït
Quant-à nous, Paris, qui en a vu d’autres, nous accompagne dans cette nuit de débauche. Tu es à bout de force. Tu m’ordonnes d’abord de te fesser, ce que je fais sans retenue. Puis, répondant à ma violence, tu me mords l’avant-bras. Puis, tu exiges que je repasse une dernière fois par ton anus. Tu trembles de partout, j’accuse aussi un peu de fatigue, mais mon sexe, frénétique, est vissé à ton cul. Soudainement, je me retire et j’explose la capote pour que je puisse honore tes fesses sublimes et le bas de tes reins. Nous sommes trempés de partout et nous agrégeons nos liquides qui forment une sorte de colle. Tu vas dormir, je te suivrai dans peu de temps. La housse de couette nous recouvre, elle sent la lessive et le sexe. Je prends ta main, tu prends mon sexe mi-mou, mi dur du coup. Tu me dis que demain, nous recommencerons. Tu as raison, prenons des forces, à demain belle Camille.
Elle (à lui) – 6H47
Oh mon D…Faites que cette relation ne s’éteigne jamais.
Tu me procures encore de déchainement de plaisir radical. Mon corps et mon âme qui ensemble se surpassent pour aller chercher ensemble des sensations inédites au plus profond d’eux-mêmes.
Etendue sur le dos, ...
... depuis dix minutes, je laisse passer les ondes de choc de ce tsunami matinal.
Un cri.
Ma petite culotte aux chevilles.
Simplement, ma main en feu agrippée à mon sexe brulant, d’humide à trempé à mesure que mes yeux descendent ton texte et que mes doigts disparaissent.
A…, la lumière bleutée de cette multiple promesse virtuelle m’extirpe doucement d’un rêve étrange et délicieux pour une réalité qui ne l’est pas moins.
Avant même tes mots que je devine bruts, touchants et justes, ton prénom me rappelle la beauté vivante et me procure souvent cette double sensation : mes seins qui se durcissent brusquement, légèrement douloureux si je les effleure à ta place. Ma bouche qui a l’impression que ton sexe vient envahir ton l’espace jusqu’au seuil de la gorge, provoquant un réflexe.
Entre mes lèvres. Déjà, j’imagine ton sexe qui d’aventure entre mes seins, mes doigts, mes cuisses, mes fesses…Entre mes lèvres.
Je te découvre davantage à chaque fois que je te lis. Je te préfère mille fois en chair et en os, en boucles et en longueur, en rires et en pleurs. Et ces prémices virtuelles, incendiaires mais aériennes me rappellent qu’un an pour te connaître n’est vraiment pas suffisant.