1. EVG Chez Gégé et dépucelage - 03


    Datte: 23/01/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byAngelinaTG, Source: Literotica

    ... remettre dans le panier avant une machine.
    
    Je prends toujours une paire de bas, et parfois juste un soutien-gorge (qui ne soutient rien mais c'est grave sexy, lol), ou alors une nuisette, un body moulant, une guêpière, ça dépend.
    
    Je ne compte plus les fois où mon collègue me prend dans les toilettes du bureau, m'enculant ou éjaculant dans ma bouche à la pause de midi ou le soir à la fermeture.
    
    Parfois avec d'autres collègues qu'il a mis au parfum, le salaud ;-)
    
    Il ne se passe plus un jour sans qu'un collègue qui est au courant me touche les fesses sous mon costume.
    
    Plus un jour sans que j'enfile une belle lingerie sexy et me fasse investir la bouche ou péter le fion dans les WC.
    
    On passe juste discrètement au réfectoire emprunter un peu de beurre au frigo avant ;-)
    
    Ainsi tringlée en cachette, sapée comme une pute, j'éprouve de puissants orgasmes anaux.
    
    Ils adorent m'enlever mon string qui sent la moule de femme et caresser mes dessous imprégnés de parfum féminin, avant de me baiser.
    
    Je me suis laissé pousser les cheveux, comme ça, même plus besoin de perruque ; avec mon visage fin, ma pilosité inexistante, je n'ai même pas besoin de me maquiller.
    
    Il suffit que je détache mes cheveux qui tombent alors en carré long, j'enfile mes bas, de jolis dessous, et je deviens tout de suite une vraie femelle, perchée sur mes talons, cambrant mes reins aux pénétrations anales dans les chiottes du bureau.
    
    A la maison, lorsque je prends ma douche, je ...
    ... me caresse les fesses et me doigte la raie du cul. Je prends avec moi le grand spray de laque à cheveux d'Anne, un cylindre de 25 centimètres par 5 ; avec l'aide du gel-douche à la vanille ou au beurre de karité, je me l'enfile dans les fesses, sous l'eau chaude.
    
    Perdue dans mes pensées lubriques, je cambre mon fessier, le cylindre fiché au fond de mes reins pendant que je lape sensuellement l'eau qui me coule dessus, m'imaginant prise et défoncée par l'énorme sexe d'un improbable monstre exotique...
    
    Pour le bureau, je me suis commandé un godemichet anal, que je garde dans mon sac avec la lingerie fine.
    
    Quand mon derrière me démange trop, je file aux WC me goder un moment.
    
    J'ai vu qu'il existe des rosebud, qu'on peut s'enfiler dans l'anus et garder "en place" ; il faudra que j'essaie, ce sera mon prochain achat. Mais avec ça enfoncé dans mon derrière, je crois que j'aurais toujours envie de porter mes bas sous mon costume et je risque de bander tout le temps ;-)
    
    Cette fameuse nuit de mon enterrement de vie de garçon où j'ai été dépucelée fut la révélation de ma sexualité. Et l'évidence que j'étais une salope.
    
    Je suis devenue une folle du cul, dans les deux sens du terme :
    
    du cul, du sexe, de la baise, mais toujours passivement, comme une femelle.
    
    Et du cul, de mon petit trou, de ma chatte anale, cet orifice innocent avant cette fameuse nuit qui a tout changé, qui n'avait jusque-là jamais été pénétré par rien, et ne m'avait jamais servi qu'à faire ...
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