1. Ma chérie surprise


    Datte: 23/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... peur qu’elle ne change d’avis, puis frappais trois coups à la porte. Personne ne répondit ; je frappais à nouveau, puis, en l’absence de la moindre réponse, entrai. Quelle vision ! Je vis ma femme à quatre pattes, comme je l’avais laissée deux secondes auparavant, les fesses cambrées au maximum, avec ses bas et ses porte-jarretelles. Ses seins touchaient presque le sol. Elle demanda :
    
    " c’est toi mon chéri ? Vas-y, prends moi fort mon amour "
    
    Je grommelais une réponse, et sans préambule aucun, je sortais mon sexe du pantalon pour le mettre directement dans sa chatte trempée et ouverte. Je la besognais alors comme un fou, claquant ses fesses qui prirent une teinte rosée et la tenant fermement par les hanches. Je caressais son petit trou avec mes doigts enduits de salive, et en fis entrer un légèrement. Ma femme était comme folle, elle faisait aller son cul contre mon bassin de plus en plus fort, c’est elle qui s’empalait sur mon sexe plus que moi qui la pénétrais. Elle jouit très vite, et moi aussi d’ailleurs ; je lui éjaculais sur les fesses puis étalais le sperme sur son dos et dans son anus.
    
    Quelques minutes après, je lui demandais la raison pour laquelle elle avait fini par accepter l’idée qu’un autre mec la prenne. Elle me répondit tout d’abord que c’était surtout une vue de l’esprit et qu’il n’était pas question pour elle de passer à l’acte.
    
    Puis, après que je l’aie un peu poussée dans ses retranchements, elle m’avoua qu’elle avait discuté avec un type au ...
    ... café, prénommé Jean et qu’elle avait été plutôt séduit par lui. C’était un type ayant la quarantaine, bien de sa personne, et PDG d’une start-up. Il lui avait offert le café et avait semblé vraiment déçu quand il avait appris qu’elle était mariée. Ce type n’habitait pas très loin de chez nous et elle m’avoua même qu’elle avait songé, " en pure vue de l’esprit " (je cite) monter chez lui pour reprendre un café. J’allais même jusqu’à lui faire reconnaître que si Jean lui avait proposé d’aller plus loin, il n’était pas sûr qu’elle lui aurait dit non.
    
    Ces paroles étaient pour moi comme du pain bénit. Je décidais d’en profiter.
    
    Le soir même, lorsque nous fîmes l’amour, j’éteignis la lumière et demandais à mon épouse d’imaginer que c’était Jean qui la prenait. Elle se plaça d’emblée sur le dos, me serra le corps avec ses cuisses musclées, et appuya elle-même sur mes fesses pour que je la pénètre. Je lui demandais alors de faire comme si j’étais Jean. Après quelques instants de flottement, elle commença à gémir en disant " Vas-y Jean, prends moi fort, baise moi, vas-y, vas-y ! ". Moi, je la besognais de plus en plus fort, m’agrippant à ses seins, en pinçant les bouts, les lui mordillant. Puis je la retournais dans le noir et la pris en levrette ; ma femme continuait à prononcer le prénom de l’autre, elle bougeait son cul tellement fort que j’en avais mal aux couilles. Je lui donnais des claques sur les fesses. Puis je fus pris d’une soudaine inspiration. J’humectais son petit ...
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