Soumission et Séduction 03 - Histoires de Sexe

Soumission et Séduction 03

... train de nuit de 23h30 et s'occuper de son hébergement jusqu'à la fin de la semaine. Professionnellement, c'est un as! Il va vous ré organiser vos équipes et les remettre dans la bonne direction en quelques jours, promis!

Agathe Bastide le coupa enthousiaste :

- Daniel vous êtes un Ange! Gérard me fait signe des yeux que c'est parfait : Il sera à la gare ce soir pour le récupérer. Et pas d'inquiétude, notre maison est grande, autant l'avoir sous la main, nous l'hébergerons sans problème!

- Ma très chère Agathe, mon cher Gérard, je vous adore! Un autre point au sujet de cet as des as de la vente. C'est cependant un obsédé sexuel complet! Ce qui ne serait pas un problème, si ce n'était aussi un beau salaud avec son épouse qui est par contre charmante et avec qui j'ai rendez-vous ce soir. Pour tout vous avouer, nous avons avec Marthe d'autres projets pour elle et surtout pour lui.

Daniel Saint-Martin fit une pause pleine de suspense dans sa phrase et reprit :

- Ma chère Agathe, connaissant vos goûts, je vous donne les pleins pouvoirs sur votre hôte et je vous autorise par avance à jouer de votre imagination que je sais fertile!

Un délicieux rire se fit entendre ainsi qu'un sourd pouffement. Ces nouvelles enchantaient Agathe et Gérard sans aucun doute, Daniel n'en avait pas douté, mais il était toujours agréable de recevoir de telles confirmations.

- Ah mon grand coquin de Daniel, je vous reconnais bien là, enchaîna Agathe. Pas besoin de m'en dire plus, ...

... nous allons nous occuper de lui selon vos souhaits!

- Eh bien, Agathe, Gérard, je vous remercie et vous laisse à vos dossiers urgents. Ma très chère assistante que vous connaissez bien va vous envoyer les détails de ce dossier urgent dans la matinée. Vous me ferez un bilan complet en fin de semaine quand il sera dans le train du retour. Le meilleur à vous, mes amis!

Daniel Saint-Martin raccrocha sans entendre la réponse des Bastide. Il n'avait pas besoin de perdre du temps et eux non plus sans aucun doute! À quelques centaines kilomètres de là, Agathe Bastide regarda son époux nu, attaché à son bureau par ses soins. Le bâillon dans sa bouche était bien enfoncé mais ne gênait pas sa respiration. Elle la compliquait juste délicieusement, se dit-elle.

Ils avaient tous les deux parfaitement choisi le modèle de ce bureau, se souvint-elle en se remémorant avec amusement les spécifications et mesures très précises qu'ils avaient donné à l'ancien directeur local pour sa fabrication. Le pauvre, il devait encore chercher à comprendre pourquoi il leur avait fallu de telles précisions pour un simple bureau!

Ainsi attaché, Gérard avait les jambes parfaitement écartées contre l'avant de son bureau. Il était penché à 90 degrés, le torse aplatit sur le plan central en chêne, étiré, tracté par la force des attaches qui l'écartelaient ; sa tête dépassant et pointant vers son siège. Les cordes fixées à ses quatre membres par Agathe forçaient son époux à s'offrir totalement à sa femme ...