Chien en Devenir
Datte: 21/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bySium38, Source: Literotica
J'avais toujours été un homme à femmes. 45 ans, marié depuis 20 ans, j'avais fait cocu ma femme bien des fois.
Elle devait s'en douter, mais entre nous ça ne marchait pas trop fort. Elle était pourtant encore très désirable. Elle se refusait souvent à moi qui aie un gros appétit sexuel, nous n'avions plus trop de rapport sexuel.
Par contre de mon côté, j'étais le chaud lapin.
J'étais le responsable d'un bureau d'étude de 15 personnes qui se présentait sous forme d'une grande pièce vitrée et régulièrement des stagiaires ou des intérimaires passaient quelques mois dans l'entreprise.
J'abusais de mon position hiérarchique pour motiver les plus réticentes à me sucer dans les chiottes ou dans un placard de rangement.
La dernière en date, Nolwenn ne devait pas avoir 20 ans, elle était là déjà depuis 3 semaines. Je savais pourtant que celle-ci je ne devais surtout pas y toucher : c'est la nièce de Laurence une collègue avec qui je partageais la responsabilité du bureau.
Laurence connaissait ma femme pour l'avoir invitée une ou deux fois à manger à la maison. Laurence m'attirait depuis longtemps, mais elle restait inaccessible et m'avait déjà giflé pour une main au cul que je n'avais pas pu retenir. Elle m'avait fait comprendre que j'étais un homme marié et devait respecter ma femme...Elle avait beau dire : Laurence avait la cinquantaine avec un corps voluptueux, des formes à bander comme un âne et était toujours habillé avec des tailleurs moulants, des escarpins ...
... vertigineux. Un fantasme inassouvi...
Pourtant de part son attitude dédaigneuse et son regard fier elle inspirait une sorte de crainte et du respect. Bref c'était une bombe et je devais jouer en finesse avec elle..
Revenons-en à cette Nolwenn. Pour un vieux pervers comme moi, ce fruit défendu m'obsédait encore plus, d'autant que le fruit était prêt à cueillir!
Ce matin elle portait un chemisier couleur métallisé satiné qui laissait entrevoir les coutures de son soutien gorge bien rempli. Cela faisait 3 semaines que je la matais, sa bouche et ses seins dressés m'excitaient énormément. Je ne tenais plus. Hier soir j'avais baisé ma femme comme une brute en pensant à son corps! Je n'arrivais pas à me concentrer de la journée.
Ne me contrôlant plus, j'allais à son poste de travail.
Apparemment cette petite était maline car elle avait vite compris mon manège, avec ses grands sourires, son cul qui ondulait quand elle me croisait. Elle me chauffait. On était vendredi soir et sa mission se finissait, mais je pouvais la renouveler si elle se montrait efficace et ...dévouée.
Un dossier sous le bras, j'étais allé à son bureau et, penché sur elle et son décolleté racoleur, lui avait signifié que ça ne tenait qu'à elle de renouveler sa mission, en restant tard ce soir par exemple. Ça ne tenait qu'à elle et sa langue lui avais je murmuré à l'oreille.
Je l'avais rejoins comme convenu dans une cabine des chiottes des femmes et je la coinçais rapidement contre le mur. Je la ...