COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (5/7)
Datte: 21/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ma vie que je pensais toute tracée en venant faire mes études à Paris avec ma copine Ludivine, s’avère bien différente de ce que j’en avais pensé depuis que j’ai emménagé avec ma copine.
Dès le premier soir, elle monte un plan entraînant la perte de ma virginité.
Je devrais dire de mes virginités lorsque je suce John un des trois Anglais de passage à Paris et que je finis à faire le sandwich entre lui et Boby son copain.
Sodomie, fellation ainsi que pénétration vaginale, moi l’enfant de Marie, comme aime à le répéter Hubert, mon père, catho jusqu’au bout des ongles, c’est ce que Ludivine me fait subir.
Bref la totale sexuellement pour une jeune pucelle.
Ludivine a pris de l’influence sur moi et jusqu’à ces fêtes de Noël elle fait de moi tous ce qu’elle veut.
Salope et indirectement pute lorsqu’elle m’explique comment appâter des hommes d’âge mûr dans les jardins du Luxembourg.
Est-ce pour se dédouaner qu’elle a révélé à Charles son père la salope qu’elle a faite de moi pour mon plus grand plaisir, je dois le reconnaitre.
Le faite de lui dire que j’ai perdu ma virginité doit échauffer les sens de cet homme lui aussi d’âge presque mûr comme mon père.
Car après avoir acheté des vêtements avec maman, passant devant le cabinet médical qu’il tient avec mon père, il m’attire dans son bureau.
Il me parle de ma transformation de jeune fille de bonne famille et femme presque fatale.
Dans ses confidences Ludivine m’a dit avoir perdu sa virginité avec mon ...
... père dans le cabinet de consultation voisin et moi loin de perdre ma virginité, je me trouve enlacée par cet homme séduisant.
Séduisant, mais que j’ai toujours connu, c’est même mon parrain.
Il m’a porté, bébé, sur les fonts baptismaux de notre église de notre quartier.
Mais sa langue qui trouve la mienne me fait craquer, surtout après avoir croisé avec sa mère Jules le fils du notaire cloué depuis tout temps dans un fauteuil roulant.
Comment notre monde de plus en plus sophistiqué peut-il laisser vivre des êtres avec de tel handicape ?
Alors lorsque Charles me pousse les fesses sur son bureau je suis bien aise de me donner à lui.
Sa main monte dans ma fourche et trouve la source des plaisirs défendus surtout par mon paternel son meilleur copain.
• Tu mouilles ma belle salope, alors c’est vrai ce que m’a dit ma fille, je peux y aller sans être le premier !
• Baise-moi salopard, bien sûr que tes doigts me font mouiller, tous les doigts des hommes me font mouiller.
• Parce qu’il y en a eu d’autres que ce garçon dont Ludivine m’a parlé, fais-moi voir tes seins.
J’avais des scrupules, tu viens de me les enlever.
C’est ainsi que j’ai sorti un à un mes seins qu’il s’est empressé de caresser faisant bander les pointes.
Sa bite qu’il frotte contre moi, bande aussi et c’est dans un tourbillon de plaisir que rapidement il m’entraîne.
Il sort sa bite, je la prends en main sans la voir, un beau morceau à ce que je palpe.
Je suis à deux doigts de ...