1. Budapest


    Datte: 06/03/2018, Catégories: fh, fbi, vacances, sauna, Masturbation Auteur: Doc75, Source: Revebebe

    Mes vacances avec Fanny touchaient à leur fin. Le climat estival semblait pourtant continuer sur Budapest malgré les premières feuilles jaunies qui jonchaient déjà le sol. Fanny et moi aimions nous balader sur les rives du fleuve, sans objectif précis. Je marchais à côté d’elle pour mieux caresser ses petites fesses fermes et rebondies. Elle ne se plaignait d’ailleurs pas de ce geste et m’invitait souvent à le prolonger une fois à notre hôtel. J’aimais la vue de son petit cul docile et ferme, finement recouvert d’une petite culotte échancrée.
    
    La veille, par un bel après-midi ensoleillé, nous avions profité des bienfaits d’un hammam de quartier. Tel un jeu prémédité, nous avions su nous retrouver, peu avant la fermeture, dans la même cabine d’essayage… étroite et peu éclairée.
    
    Discrétion relative, excitation palpable, bruits étouffés… Mon érection était venue très vite. La jouissance aussi.
    
    J’avais été comblé par ce fantasme enfin réalisé. Gobant mes couilles sans faire trop de bruit, Fanny en avait profité pour se frotter la chatte à l’aide de la pointe de ses doigts. Elle m’avait ensuite branlé à genoux sur le carrelage blanc des vestiaires. Comme dans un vulgaire porno, je l’avais incitée – à l’aide de mots crus – à bien me pomper la verge.
    
    J’avais pu admirer le sous-vêtement bien ajusté sur l’arrondi de son arrière-train. D’un geste méthodique, elle pouvait suivre les traits de mon visage pour accélérer ou – au contraire – aspirer et me branloter plus ...
    ... subtilement. Debout, adossé à la porte en bois, j’avais rapidement éjaculé. De beaux gros jets crémeux sur sa petite bouche offerte. L’étroitesse de cette cabine vétuste avait contribué à nous exciter fortement.
    
    Mais dans le râle salvateur qui avait suivi mon orgasme, il m’avait semblé entendre les pas d’une personne dans le couloir.
    
    En sortant, la préposée au vestiaire nous avait jeté un regard plutôt ambigu à Fanny et moi. Difficile à interpréter. Mélange de désapprobation et de complicité. C’était une femme d’apparence autoritaire. Je lui donnais une quarantaine d’années, facile. Sa blouse blanche cachait de longues jambes et une poitrine généreuse. Tout émoustillé, j’imaginais qu’elle avait pu entendre nos ébats. Ma copine s’amusait de ce fantasme enfantin, mais finalement assez sage… Sa vie sexuelle semblait bien plus mature que la mienne.
    
    Le soir, à l’hôtel, nous avions échangé quelques mots sur l’épisode écoulé.
    
    — Et ben… Tu as bien joui mon chéri, dans cette cabine ! me dit-elle, amusée. J’avais ton foutre sur le menton et je ne trouvais pas la serviette pour m’essuyer… J’en avais même quelques gouttes sur les cheveux !
    — Mais tu crois vraiment que la dame du vestiaire nous a entendus ?
    — Plutôt, oui… Tu n’as rien remarqué, mais elle est restée derrière la porte jusqu’à ce que tu éjacules. Après, elle est retournée à son poste tout naturellement.
    
    Je restai sans voix. Fanny me passa la main dans les cheveux et continua, rêveuse :
    
    — Pour elle, ça devait être ...
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