Ma jolie fleur Sumalee
Datte: 19/01/2024,
Catégories:
fh,
asie,
couple,
campagne,
voiture,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... me dit que tu craqueras bien avant moi ! Les hommes sont totalement gouvernés par leur bite !
— Nous verrons…
La journée s’est ainsi poursuivie, je ne manque aucune occasion de la patiner, de la caresser, et flatter ses hanches en lui glissant à l’oreille que son mignon petit cul me faisait bander. Tout ceci l’amuse beaucoup :
— Je sens que tu vas craquer !
— Il ne me semble pas…
— Ne me dis pas que tu t’es déjà tripatouillé la nouille pour vider ton poireau !
— Ce n’est pas mon genre, ma chérie ! Des nouilles au poireau, il faudra qu’on essaye…
— Pfff, crétin, va !
Puis le soir est arrivé, nous sommes invités chez des amis. Tout se passe très bien, même si je ne manque aucune occasion de la caresser en catimini et de laisser libre cours à mes doigts très explorateurs, mais sans aller plus loin.
Sur le chemin du retour, je caressais sa cuisse d’une main, tandis que je conduisais de l’autre. Amusée, elle se laisse faire, comme elle s’est laissée faire toute la journée, espérant que je craque avant terme, ce qui n’est pas arrivé. D’elle-même, Sumalee retrousse sa jupe pour me faciliter la tâche, et m’offrir un boulevard vers son entrejambe.
— Vas-y, t’en meurs d’envie, p’tit vicieux !
— Merci, ma chérie…
Quelques centaines de mètres plus loin, je gare la voiture sur un petit parking isolé. Puis je commence à l’embrasser fiévreusement, tout en passant mes mains sous son top afin de caresser sa petite poitrine aux tétons déjà bien durs. Ma chère femme ...
... porte rarement de soutien-gorge, ce qui est fort pratique. De plus, vu sa poitrine menue, à quoi servirait ce genre d’accessoire ? De son côté, Sumalee flatte la bosse qui déforme mon pantalon.
— Enfin, tu craques, gros cochon !
— On peut considérer que la journée est passée…
Quelque temps après, ma verge bien droite est au chaud dans sa bouche, tandis que je caresse ses fesses toutes douces, effleurant indistinctement l’orée de ses lèvres humides et la cuvette de son petit trou. Ma femme sait se servir de ses lèvres et de sa langue. J’ignore combien d’hommes ont pu avoir droit à son traitement buccal, mais je suis prêt à parier ma main droite(celle avec laquelle j’écris) qu’elle n’a jamais eu une seule réclamation, une fois le job achevé…
Avant que je ne craque, je la stoppe dans son élan :
— Arrête de me sucer… Passons à autre chose…
Ayant retiré ma verge luisante de salive de sa bouche, elle me regarde d’un air narquois :
— Ah oui ? Et quoi ?
Pour toute réponse, je l’embrasse, puis je sors de la voiture. Ayant fait le tour du véhicule, galamment, j’ouvre sa portière :
— Tu nous fais quoi, là ?
— Il fait bon dehors, autant profiter…
Assez étonnée de la tournure des événements, elle sort néanmoins de la voiture. Durant ce temps, ayant ouvert le coffre, j’en extirpe une couverture que j’étale sur le sol, sur le côté du véhicule afin d’être peu visible de la route. Je m’assieds dessus, puis j’invite ma femme à me rejoindre. Dès qu’elle est près de moi, ...