1. Divorcées mais libérées (1)


    Datte: 19/01/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    A peine son divorce prononcé, Elise prit diverses résolutions. Plus question de se morfondre sur son infortune, l'infidélité de son ex, qui l'avait minée pendant des mois avant que la séparation fut enfin prononcée. Plus question de s'apitoyer sur son sort, de se culpabiliser, de s'auto flageller. A 35 ans, elle avait encore toute la vie devant elle et le fait de ne pas avoir d'enfant la rendait d'autant plus libre. Mais plus question non plus de ne s'investir que dans son travail de directrice d'une collectivité sociale, ce qui avait fini par entamer sa vie conjugale. Elle se ménagerait désormais des espaces de temps pour elle-même, pour son plaisir. Car la principale résolution d'Elise était celle-ci : plus question de ranger sa sexualité au rang de l'accessoire. Mais attention : pas au profit d'un seul homme pour reproduire sous une autre forme une vie de couple. Après s'être jugée objectivement, elle conclut que son corps restait attractif pour une véritable vie sexuelle, autonome, riche et épanouie. D'un petit format (1,58m), elle se jugea bien proportionnée avec des seins menus mais fermes, des jambes fines, une cambrure nette qui mettait son fessier rebondi en évidence, mais aussi un visage éclairé par des yeux d'une rare nuance de vert et encadré de cheveux châtains tombant sur ses épaules qui constituaient le principal d'un charme indiscutable. En la découvrant, les hommes ne pensaient pas spontanément au sexe mais ils la trouvaient sacrément jolie et enviaient son ...
    ... mari. Aussi beaucoup furent-ils surpris quand ils apprirent son divorce. Comment pouvait-on laisser échapper un aussi joli minois ?
    
    Dans son milieu professionnel, les hommes n'étaient pas les plus nombreux et ce n'était pas plus mal de son point de vue. Ses fonctions s'accommodaient mal d'une liaison intra muros. Il lui faudrait chercher son bonheur ailleurs. Mais c'est là que les choses se compliquaient. Elle se voyait mal courir seule les boites de nuit et d'ailleurs, ce n'était pas son truc : trop bruyant. Les terrasses de café ? Il est vrai qu'une femme solitaire attire les regards, mais aussi les fâcheux. Elle en avait déjà congédié plusieurs qui voulaient s'imposer à sa table. Elle n'était pas contre se faire draguer, bien au contraire, mais quand même pas par n'importe quel pékin.
    
    Elle en était là de ses réflexions quand elle se retrouva un jour à déjeuner avec une de ses principales collaboratrices prénommée Samia, une quadragénaire d'origine maghrébine. Elle lui avait appris à cette occasion sa séparation d'avec son époux, incapable de suivre l'évolution des moeurs et notamment la sienne, qui se jugeait désormais entravée. Elle venait de prendre elle aussi son indépendance mais sans le moindre état d'âme. Comme Elise, elle avait pris un appartement et comptait bien profiter de sa nouvelle liberté. Encouragée par la directrice, qui lui confiait ses mêmes intentions, Samia se lâcha et prononça une série de phrases qui surprirent son interlocutrice, qui s'était ...
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