Le Projet Ch. 08 - Histoires de Sexe

Le Projet Ch. 08

... soleil et la chaleur, nous avions dressé une grande table, faite de tréteaux et de plateaux, à l'extérieur. Finalement ils étaient 25 membres, 18 hommes et 7 femmes, de tous les âges. Pendant que je m'occupais de cuire la viande, Kate est venue déposer des bouteilles de soft drinks, de l'eau, de la bière légère et des snacks. Et on n'a pas hésité à lui pincer les fesses, tirer sur ses anneaux, toucher sa chatte et lui cracher au visage parce qu'il était dégueulasse avec des croûtes de sperme. Quand j'ai apporté les plats de viande, ce fut mon tour. A moi aussi on a tiré sur mes anneaux, principalement sur celui que j'ai au bout du gland et qui a eu beaucoup de succès. Des filles ont trouvé que ma bite n'était pas si petite que cela, ce qui m'a fait plaisir. Mais elles trouvent que mes couilles devraient pendre beaucoup plus, comme les seins de Kate, et qu'il faut le dire à Julien ( elles ne connaissent pas Alicia). Je suis aussi fier qu'ils aient trouvé mes salades et mon poulet excellents et ils ont hâte de tester ma bolognaise avec le spaghetti de demain. Mike donne le signal du départ, bien vite les moteurs se font entendre et 20 motos se mettent en route avec leurs pilotes et quelques passagers. Ne restent au Club que les deux conductrices de Vans, Sylvie et Maude, elles sont en stand-by pour un éventuel dépannage avant d'assurer leur rôle de conductrice de bus en fin de soirée. Elles rentrent dans le local et vont chercher deux chaises longues, se mettent nues et ...

... s'installent au soleil.

Kate et moi commençons à tout ranger et faire la vaisselle. Nous avons presque terminé quand Sylvie m'appelle et me demande de leur apporter deux bouteilles d'eau.

-S'il vous plaît madame.

-Merci Pierre. Vous avez terminé?

-Presque madame. Il ne nous reste plus qu'à dresser la table pour ce soir. Les plats sont prêts et nous pourrons servir dès qu'on nous le demandera.

-Parfait. Mets-toi à genoux entre nous deux.

Elles se désaltèrent, allument une cigarette et continue leur conversation. Après quelques instants Maude me dit de tirer ma langue et elles y déposent leurs cendres que j'avale. Ceci me vaut une paire de gifles tellement puissante que j'en vacille.

-On ne t'a pas dit d'avaler. Tu laisses ta langue tirée et tu attends. Kate ! Viens-ici ! Mets-toi à genoux en face de lui. Pierre, si tu laisses tomber nos cendres on éteindra nos cigarettes sur sa chatte et même une maso comme elle va réellement souffrir.

Je ne voulais pas bien entendu être responsable d'une telle douleur sur Kate. Je suis parvenu à garder ma langue pendante, malgré la bave noire que je ne pouvais retenir et qui me coulait sur le menton et puis sur la poitrine. Finalement, elles éteignent leurs mégots dans cette bave sur ma langue. La douleur est supportable et je parviens à garder les deux mégots.

-Bel effort Pierre, on dirait que tu l'aimes bien ta camarade de jeu et que tu veux la protéger. Kate, prends ces deux mégots et mets-les dans ta chatte poubelle. ...