1. COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (2/3)


    Datte: 18/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... un attroupement s’étant produit.
    
    Par chance Redwan, c’est le Marocain est là et le prend en main.
    
    Hôpital aux urgences avant que le diagnostic nous arrive, hémiplégie et Paul est très proche d’être un légume.
    
    • Solange, que vas-tu faire, notre village va être privé de sa boulangerie, c’est sa mort assurée.
    
    Hélas, c’est notre maire qui me ramène à la réalité, plus de boulanger, plus de boulangerie, je vais être obligée de mettre la clef sous le paillasson.
    
    Mais une bonne fée s’est posée sur notre coin de Bretagne, Amadou !
    
    • Patronne, j’ai assez d’expérience pour fabriquer les baguettes, à la française et les paris-brest pour la pâtisserie, je vais assurer la fabrication du pain de notre village.
    
    J’apprécie ces derniers mots, « notre village, » ça s’appelle l’intégration ou l’assimilation.
    
    Dès le mardi, je peux ouvrir à sept heures avant le départ des ouvriers de l’usine de tuiles en ardoises, nos râteliers ayant tout ce qu’il faut.
    
    Mieux même, le dimanche, rapidement il se dit que les fars bretons ont gagné en onctuosité et dès le dimanche suivant Amadou en confectionne le double.
    
    Je vais tous les lundis à la ville voisine voir Paul toujours dans son état végétatif.
    
    Je lui fais la lecture des informations dans le télégramme de Brest, sans savoir s’il comprend ce que je lui dis.
    
    Je suis accompagnée par Amadou, après que nous ayons été manger la tête de veau.
    
    Amadou en raffole puisque c’est du veau et non du porc.
    
    Un point noir, ...
    ... c’est le cas de le dire, mes miches qui se sentent abandonnées.
    
    Tout va changer au bout d’un mois, j’ai fermé la boutique, je viens dans le fournil, Amadou est là ses mains blanches de farine.
    
    Je suis près du marbre, la caisse de l’argent liquide en main.
    
    Il s’approche, me prend dans ses bras puissants et m’assied sur cette table.
    
    Je suis surprise, mais avant que j’aie le temps de réagir, il prend la caisse, la pose à mon côté et ouvre ma blouse.
    
    Prendre l’air, mes mamelles dans leur pigeonnier lui saute au visage et malgré ses mains couvertes de farine, il commence à les malaxer.
    
    • Excusé, patronne, ça fait des jours qu’ils me faisaient envie.
    
    Je devrais m’offusquer, mais je sens ma chatte mouiller, elle était sèche depuis l’accident cérébral de Paul.
    
    C’est moi qui prends le plus léger, le droit, pour le porter vers ses grosses lèvres.
    
    Comment s’y prend-il, pour m’ôter ma petite culotte, petite c’est relative vue mon gros cul, j’achète du 52.
    
    Paul était incapable de faire ce qu’il fait, me soulevant sous mes miches arrière et me faisant glisser sur sa verge qu’il a réussi à sortir sans que je m’en aperçoive.
    
    Comment l’on dit, jusqu’aux amygdales, je la sens remonter en moi ?
    
    Je serais chez Charles, c’est sur un véritable croc de boucher que je suis suspendue par la chatte.
    
    Pour la première fois, ma bouche se colle sur la bouche de mon amant.
    
    Heureusement, lorsqu’un orgasme me rattrape, le cri de plaisir que j’éructe se serait entendu ...