1. Anne, mon amour


    Datte: 18/01/2024, Catégories: fh, couple, poilu(e)s, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, amouroman, totalsexe, Auteur: François Angler, Source: Revebebe

    ... c’est le prix à payer pour le mensonge caché trop longtemps. Et, le groupe s’éclate devant le bar, regagnant chacun son domicile.
    
    Il fait nuit noire, nous sommes en décembre, à quelques jours de Noël, un fort vent du nord s’engouffre entre les ruelles pavées. Anne frissonne malgré sa veste, je retire mon manteau épais pour lui couvrir les épaules. Aussitôt, le vent me glace malgré mon gros pull-over en laine à col roulé. Je prends sa main et l’entraîne jusqu’à chez-moi, mon immeuble ne se trouve qu’à deux rues de là. Je tourne la clé dans la serrure, une pression sur un bouton et le hall de la cage d’escalier s’illumine. Nous voilà à l’abri du vent, je prends Anne dans mes bras et nous échangeons un long baiser. D’un geste gracieux, elle me rend mon manteau qu’elle dépose sur mes épaules.
    
    — Tu me sembles frigorifié, me dit-elle.
    
    Elle se retourne et commence à gravir les marches en bois du vieil escalier. Elle est vêtue d’une jupe à soufflet qui s’arrête à mi-cuisses, ses jambes sont gainées dans un collant noir et ses pieds chaussés d’une paire de bottes en cuir avec une fermeture éclair sur le côté. Je marque un temps d’arrêt. Mon regard suit la courbe de ses jambes, elle a des formes et j’aime cela. Je cherche à voir sous sa jupe. Porte-t-elle vraiment un collant ? Elle est cinq ou six marches plus haut, l’angle de vision m’offre la possibilité d’observer plus haut sous le vêtement. Je penche la tête pour mieux voir. Elle s’arrête brusquement et tourne prestement ...
    ... son visage vers moi.
    
    — J’en étais sûre que tu me matais, petit vicieux !
    — Mon amour, la vue que tu m’offres est si belle ! Comment pourrais-je y résister ?
    — Flatteur ! Je parie que tu aimerais que je la soulève comme ça !
    
    Ses mains se posent sur le bas du vêtement, et remontent lentement le tissu. Alors apparaissent à ma vue le haut de ses cuisses, puis l’intégralité de son fessier, large et rebondi. Elle porte, effectivement, un collant épais qui ne laisse rien transparaître. Qu’elle est désirable !
    
    — Ça suffit ! Si tu veux en voir plus, il va falloir le mériter.
    
    D’un coup, ses mains lâchent le tissu qui retombe, dissimulant ses atouts à mes yeux. Elle se met à courir dans les escaliers, escaladant les quatre étages à toute vitesse. Elle arrive tout essoufflée sur le dernier palier, je lui ai laissé croire qu’elle pourrait m’échapper mais la porte de mon appartement est au fond d’un couloir, où elle se retrouve coincée. Je la plaque contre la porte de mon studio, ma bouche cherchant la sienne, qu’elle détourne, mes lèvres ne rencontrent que la peau de son cou. Je dépose là un doux baiser. Nos bas-ventres sont appuyés l’un contre l’autre.
    
    — Je sens que je te fais de l’effet !
    — N’est-ce pas toi qui as passé la soirée à m’asticoter l’entrejambe sous la table ?
    — J’aime sentir ta virilité sous mes doigts, surtout quand tu es dans l’impossibilité d’en user sur ma personne.
    — Vicieuse !
    
    J’ai inséré la clé dans le pêne de la serrure, deux tours et la porte ...
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