Du vice à l'esclavage 03 - Histoires de Sexe

Du vice à l'esclavage 03

... viens vous nettoyer comme vous m'avez appris"

Elle s'avance encore et prend ma bite sale en bouche. Elle commence à me sucer comme je luis ai appris. C'est parfait.

D'un seul coup, quelqu'un frappe à la porte.

C'est midi, je sais qui c'est, mais Ana a sursauté et essaye d'arrêter de me sucer. Elle doit avoir peur d'être surprise dans cette position déshonorante. Je maintiens sa tête sur ma bite avec une main et la préviens.

Moi : "Tu continues à me nettoyer. Si tu t'arrêtes sans que je t'en donne l'ordre, tu seras licencié immédiatement"

Ana fait signe qu'elle a compris. Elle commence à pleurer à nouveau.

Moi, avec un ton sévère : "Entrez!"

Luisa ouvre la porte et reste choquée à l'entrée.

Moi : "Rentre ma petite pute et ferme la porte à clé."

Je la vois hésiter, ne pouvant pas retirer ses yeux d'Ana, sa collègue de bureau en train de nettoyer ma bite.

Moi : "Tu veux une punition comme ce matin pour commencer ton après midi!"

Je lui rappelle des douleurs qu'elle n'a pas envie de connaître à nouveau de si tôt. Elle entre rapidement et ferme la porte.

Je lui montre avec mon doigt un emplacement à moins d'un mètre devant moi.

Moi : "Viens ici"

Luisa : "Oui mon maître"

Elle se place juste devant moi. Elle peut voir Ana continuer à sucer ma bite. Ana la regarde les larmes aux yeux mais ne s'arrête pas.

Je lui caresse le cul pendant qu'elle continue et que je vais faire les présentations.

Moi, en parlant à Luisa : "Tu vois, tu ...

... n'es pas la seule petite salope de l'entreprise. Je n'ai pas besoin de te présenter Ana, ta collègue de travail."

Luisa : "Non maître, je la connais"

Moi : "Comme tu peux le voir, Ana est aussi ma petite pute. Elle doit racheter ses fautes, comme toi."

Ana comprend qu'elle n'est pas la seule à être obligée de subir ce martyre.

Moi : "Vous êtes toutes les deux mes petites salopes. Les règles restent les mêmes. Je vous interdit de parler entre vous. Vos bouches ne servent qu'à me proposer de me satisfaire, qu'à me sucer ou, comme Ana est en train de la faire, qu'à me nettoyer"

Ana pleure de honte. Luisa semble se dire qu'au moins elle est un peu tranquille. Elle imagine être passé à coté d'une punition.

Moi, à Luisa : "Tu n'as pas obéi immédiatement à mon ordre de rentrer et de fermer la porte à clé. Qu'est ce que tu mérites?"

Luisa, la voix tremblante : "J'aimerais que vous me punissiez, mon maître"

Moi, à Ana : "Prend exemple sur Luisa, petite pute"

Moi, à Luisa : "A poil, dépêche toi!"

Ma belle Luisa s'exécute immédiatement. Je vois qu'elle a toujours le bout des seins bien rouges. Mais ses tétons ont finalement repris leur forme normale.

Moi : "Va chercher tes deux pinces sur mon bureau!"

Luisa : "Oui mon maître"

Elle va chercher les pinces qui n'avaient pas bougées depuis ce matin. Et revient avec.

Luisa : "Maître, s'il vous plaît, punissez moi pour ma désobéissance"

Moi, à Ana : "Regarde comment cette petite pute est mieux éduquée ...