1. Petite effrontée !


    Datte: 17/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... l’été, robes ou jupes légères et affriolantes que le moindre souffle faisait voltiger. Tous les jours je me branlais en pensant à elle. J’étais tant pris d’elle qu’un jour je me suis approché du fils pour m’en faire un ami, juste pour avoir accès aux slips de sa mère si un jour il m’emmenait chez lui.
    
    Mais malheureusement pour moi, pas une fois il m’invita à passer le pas de sa porte d’entrée de chez lui. Il a fallu un simple disque sans intérêt pour moi, mais beaucoup pour lui, pour le pousser dans la direction où je désirais. Je te l’échange, lui avais-je dis contre un collant porté de ta mère. Tu es fou ! m’avait-il répondu. Que veux-tu faire avec un collant de ma mère ? T’occupe, allez grouille toi et le disque est à toi. Comme tu veux, fit-il en prenant le chemin de son foyer.
    
    -Et il t’a ramené le collant ? Me fait Julie.
    
    -Bien entendu, il se l’est même enfilé pour ne pas se faire prendre par sa mère. Disque en main, je lui ai demandé de baisser son pantalon, alors que j’étais agenouillé devant lui. Très vite je me suis trouvé la bouche au niveau de sa queue dressée.
    
    -Comment ça dressée ? S’étonne Julie.
    
    -Sans doute à cause du contact du nylon sur sa peau.
    
    -Et il ne portait pas de slip ?
    
    -Non. Je voyais comme je te vois sa belle verge circoncise sous l’étoffe transparente. Je ne sais pourquoi j’ai posé mes lèvres sur le nylon et j’ai couvert la verge de bises. Puis je suis descendu jusqu’à atteindre ses couilles. Surpris sans doute par mon ...
    ... initiative ou par autre chose, il s’est laissé faire. J’ai fais courir ma langue au long du nylon. Sous mes caresses buccales, son gland s’est gonflé, tout suintant. J’ai posé ma langue sur la zone délicate toujours plaqué par le collant. Il s’est crispé un peu. Il n’était pas familier à ce genre de caresse. Partie dans mon délire, j’ai baissé d’un geste sec le collant sur ses cuisses, assez pour mettre sa verge à nue. Il a bien cherché bien à m’échapper, mais l’appât de posséder mon disque l’a dissuadé, se laissant conduire.
    
    J’ai donné un petit coup de langue sur le gland congestionné, il a accueilli cette initiative d’un râle approbateur. Je me suis saisis de sa verge pour la diriger de moi-même vers ma bouche. Le goût salé m’a étonné, sans pour ça me déplaire. J’ai léché le sexe en enroulant ma langue autour. J’avais l’impression qu’il durcissait encore sous l’effet de mes caresses. Il s’est mit à gémir. J’ai gobé le bout lisse et l’ai capturé ente mes lèvres.
    
    -J’y crois pas ! Fait Julie.
    
    -Comme je te dis, je suis resté ainsi quelques instants à savourer cette sensation inédite jusqu’à maintenant. Puis j’ai avalé le sexe, centimètre par centimètre. J’avais l’impression qu’il n’en finissait pas, en dépit de courte taille. J’ai léché avec délectation. Il a remué du bassin avec régularité. Il ne s’est plus contrôlé, alors que je l’ai tété avec avidité, et cela jusqu’à ce qu’il s’est répandu dans ma bouche.
    
    -Eh bien ! Me fait Julie.
    
    -Souvent, une fois la lumière éteinte ...